Les autorités algériennes restent fixées sur leur nombril
Il est une réalité incontestable que les hommes au pouvoir en Algérie soient dans l’incapacité de mener une diplomatie cohérente et c’est la raison pour laquelle ils ne ratent aucune occasion pour réagir face aux acquis diplomatiques que le Maroc ne cesse d’engranger sur le soutien international à son intégrité territoriale, marquant ainsi leur désarroi et leur isolement sur le plan international.
Il est devenu plus qu’évident que la haine incompréhensible des responsables algériens, fidèles héritiers de Boumediene envers le Maroc, reste toujours la pierre angulaire d’un pouvoir militaro-affairiste mené à la baguette par des généraux faiseurs de Présidents et ce, alors qu’ils devraient s’affairer à revoir leur attitude révoltante envers le Maroc.
Force est d’admettre que la reconnaissance de la marocanité du Sahara n’est plus une affaire des seuls Etats, mais aussi des organisations internationales, au moment où les retraits des rares soutiens au polisario se multiplient, notamment avec l’ouverture de plusieurs Consulats Généraux à Laâyoune et Dakhla, villes du Sahara marocain.
De même que la Confédération Africaine a choisi la ville de Laâyoune pour abriter la Coupe d’Afrique des Nations de Futsal du 27 janvier au 07 février 2020, une compétition de très haute qualité et qualificative pour la Coupe du Monde prévue du 12 septembre au 4 octobre 2020 en Lituanie.
Un rendez-vous boycotté par la Fédération sud-africaine et son acolyte de toujours qu’est la Fédération Algérienne de Football qui, bien que non qualifiée, a décidé de ne pas participer au 63ème anniversaire de la Confédération Africaine de Football censé s’y dérouler ainsi qu’une réunion de son organe directeur, le Comité Exécutif (ComEx), prévue le 06 février 2020 au cours de laquelle les dates de la CAN 2021 au Cameroun doivent être validées et le pays hôte de la CAN féminine 2020 doit être désigné à cette occasion.
A noter que ni la FIFA, ni la CAF ni la Fédération Royale Marocaine de Football (FRMF) n’ont daigné réagir aux critiques sud-africaines et algériennes.
Pour rappel, ce n’est pas la première fois que Laâyoune abrite un événement sportif marquant puisqu’en En 2017, un match de gala fut organisé avec des stars du football comme le Brésilien Rivaldo, le Camerounais Samuel Eto’o et l’Égyptien Mohamed Aboutrika. Il s’agissait d’une commémoration de la « Marche Verte ».
Ce n’est peut-être pas la dernière polémique concernant la ville de Laâyoune. Le président de la Fédération Marocaine de Handball a annoncé que le Championnat d’Afrique 2022 allait se dérouler dans cette cité du Sahara marocain.
Quoi qu’il en soit, la mobilisation est générale à Laâyoune pour que le Maroc soit à la hauteur de ce rendez-vous de l’événement, avec des infrastructures, un accueil et une compétition de très haute qualité.
Une compétition qui aura de quoi faire rougir de honte la République sud-africaine et l’Algérie tout en portant un sacré coup au polisario pour tentatives de travestir l’Histoire.
Ils ont été désavoués par les instances sportives internationales car la vérité finit toujours par émerger en laissant des traces indélébiles et cela leur fait très mal car le Sahara marocain fait partie intégrante du territoire national du Maroc.
Il est devenu urgent pour les pays épris de liberté, de justice, de démocratie, de bien-être et de savoir-vivre de rompre toutes relations avec les quelques pays soutenant encore la fantomatique RASD.
Suite à cette victoire sportive, consécutives aux multiples victoires diplomatiques du Maroc, les ennemis de son intégrité territoriale et de sa Souveraineté, Algérie en tête, peuvent ruminer leur colère d’autant plus qu’une dizaine d’autres pays africains ont manifesté leur volonté d’ouvrir des représentations diplomatiques à Laâyoune et Dakhla d’ici la fin de l’année 2020.
Farid Mnebhi.
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