Le polisario perd un soutien de poids en Amérique Latine après le retrait de sa reconnaissance par la Bolivie.
L’année 2020 débute fort mal pour le polisario et ses mentors algériens suite au retrait de la République de Bolivie de sa reconnaissance de la pseudo RASD dont l’annonce officielle en été faite le 20 janvier 2020 par le Ministère bolivien des Relations Extérieures notifiant également la rupture de tout ses liens avec l’entité fantoche.
En conséquence, la Bolivie adoptera dorénavant le principe de neutralité constructive à l’égard du conflit artificiel autour du Sahara marocain et a confirmé sa détermination à bâtir une relation renouvelée avec le Maroc, basée sur le respect mutuel de sa souveraineté, de son intégrité territoriale ainsi que sur la non-ingérence des affaires internes des deux pays.
L’adoption par la Bolivie d’une telle position est le résultat d’intenses et fructueux échanges entre les Ministres des Affaires Etrangères des deux pays depuis l’avènement du nouveau Gouvernement en Bolivie, en novembre 2019 et consacre la bonne phase et la dynamique positive qui distinguent désormais les relations entre le Maroc et tous les pays du Continent Sud-américain.
A rappeler que l’année 2019 a été marquée par le retrait de la reconnaissance de la pseudo RASD par plusieurs pays latino-américains, notamment le Salvador et la Barbade en juin 2019
Ainsi donc, la série de revers se poursuit pour l’entité fictive RASD et ses parrains algériens car les vents du changement souffleront dans plusieurs autres pays en Amérique Latine.
Au fait, les polisariens et leurs mentors algériens s’apprêtent à encaisser une autre déculottée, cette fois-ci donnée par le continent africain, avec l’ouverture, le 23 janvier 2020, de deux nouveaux Consulats à Laâyoune, ville du Sahara marocain, à savoir ceux de Sao Tomé et de la République Centrafricaine.
Farid Mnebhi.
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