Les polisariens en concerts gratuits en territoire marocain (2ème partie et fin)
Le Woodstock organisé par la fantomatique RASD, avec, bien entendu tout le soutien logistique et militaire des responsables algériens, a rassemblé environ 1200 polisariens. Etaient présents l’ineffable délégation de très faible niveau de l’Assemblée Nationale Populaire algérienne, conduite par Saïda Brahim Bounab, les enragés de ce genre de concerts venus spécialement de quelques pays d’Afrique, d’Europe et d’Amérique Latine ainsi que de Palestine et des représentants bien connus de l’Union Africaine.
Ces invités, en nombre insignifiant et en quête d’aura, étaient venus assister à ces concerts gratuits avec en sus une prime sonnante et trébuchante gracieusement offerte par les responsables algériens mais aussi le billet d’avion, le logement, la nourriture ainsi qu’un transport sous bonne garde militaire algérienne assuré et ce, jusqu’à Tifariti.
Le clou de ce festival est venu du chant du coq, déplumé et toujours dansant sur un plateau chauffé, au cours duquel il affirma que le polisario était prêt pour mener une « lutte armée longue selon un plan bien tracé ». Ce fumeux coq, qu’est Brahim Ghali, claironnera là où il pourrait être entendu pour amuser la galerie de ses supporters, en premier lieu le laquais de Président algérien. On ne pouvait mieux faire !
Il est vrai que ces concerts de Tifariti ont rassemblé plus de terroristes polisariens en tenu militaire que de véritables sahraouis marocains, ceux embastillés dans les camps de la honte de Tindouf. La photo publiée est plus que parlante.
Quant à ce coq déplumé et écervelé de Brahim Ghali et son défunt mentor, décédé le jour de la clôture de ces festivals polisariens, soit le 23 décembre 2019, que fut Ahmed Gaïd Salah. Ils ont tout simplement oublié que le Maroc s’est doter récemment d’hélicoptères de combat de types Apache auprès des Etats-Unis d’Amériques afin de protéger son territoire national. Ce régime algérien n’a qu’à venir se frotter aux Forces Armées Royales marocaines pour connaître leur réponse tonitruante. Un retour aux casernes algériennes sans pantalon et sans brodequins ! A ce titre, j’invite les lecteurs à écouter ce chant sur youtube « Chant des Forces Armées Royales المغرب – نشيد القوات المسلحة الملكية ».
Ce Woodstock mode polisario, tenu à Tifariti du 19 au 23 décembre 2019, n’a été finalement qu’un cinglant échec pour les organisateurs polisariens et algériens en comparaison au véritable et unique Woodstock tenu du 15 au 18 août 1969 dans l’Etat de New York et ce, malgré les primes conséquentes de participation et une prise en charge totale. Quelle honte !
S’agissant de la présence de deux casques bleus de la MINURSO à ce festival de Tifariti, ils devront en répondre devant leur commandement pour violation grave de l’accord de cessez-le-feu et déviation des objectifs assigné à cette mission onusienne.
Ce ripage de ces membres de la MINURSO rappelle celui du casque bleu égyptien, pris, le 22 avril 2013. Une glissade qui lui valut d’être renvoyé des rangs de ses rangs. Quant à ces deux soldats casques bleus, une sanction identique est attendu sous peu après enquête onusienne. Il en est certain !
A signaler que les interventions des clowns sud-africain, zimbabwéen et angolais ont animé l’assistance tant par leurs pitreries que par le contenu de leurs paroles révolues depuis des lustres. Un festival déprimant conclu par l’élection de la superbe star qu’est le coq danseur sur un plateau chauffé à savoir Brahim Ghali es qualité nouveau secrétaire général du polisario et président de la fantomatique RASD, ainsi que celle des membres du soi-disant secrétariat national polisarien.
La cerise sur la bûche de Noël a été déposée le 17 décembre 2019 par Washington en venant consacrer une nouvelle fois la souveraineté du Maroc sur ses Provinces sahariennes après adoption par la Chambre des Représentants des Etats-Unis d’Amérique de la nouvelle loi des Finances au titre de l’année 2020. En effet, l’aide américaine, octroyée au Maroc couvrira le Sahara marocain et aura des retombées financières plus que positives pour le Maroc et ses Provinces sahariennes. Quelle belle rouste reçue par les algéro-polisariens !
Il ne reste donc plus au coq déplumé danseur sur un plateau chauffé, Brahim Ghali, qu’à se faire courser par les Fennecs jusqu’au Palais de la Mouradia d’Alger pour animer les tristes soirées du Président algérien, faussement élu et fraichement investi, dont il serait insultant pour les lecteurs d’écrire ou de prononcer son nom, mais aussi pour présenter son allégeance au Général Saïd Chengriha, le remplaçant du tristement célèbre Ahmed Gaïd Salah
Ce coq danseur Brahim Ghali est attendu avec impatience pour les Fêtes de Noël et de Fin d’Année agrémentées de cocaïne dont en sont de friands sniffeurs importateurs et exportateurs les locataires du Palais Présidentiel de la Mouradia mais également de véritables proxénètes versés dans le trafic d’êtres humains. Au fait, le fils du Président algérien, poursuivi dans l’affaire des 701 kilogrammes de cocaïne, en serait-il le principal invité de marque, même caché ? Sûr que oui !
Farid Mnebhi.
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