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Nouveau camouflet infligé au polisario : la Jamaïque retire sa reconnaissance à la pseudo-RASD

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Le 14 septembre 2016, la Jamaïque a assommé les algéro-polisariens en décidant de retirer sa reconnaissance à la pseudo-RASD. Un choix pertinent de ce pays qui sera dûment portée à la connaissance des Nations Unies ( la 71ème session de l’Assemblée Générale de l’ONU s’ouvre ce lundi).
Cette décision forte de l’Etat jamaïcain confirme que des pays reconnaissant cette entité fantoche étudient les voies et moyens pour adopter une approche sage et cohérente avec la Charte de l’ONU et les principes élémentaires des Droits de l’Homme et de la Démocratie, comme l’ont fait récemment la République du Surinam et la Zambie.
Force est de constater que le bloc de pays qui reconnaissent la squelettique RASD s’étiole inexorablement au fil des retraits, malgré les soutiens diplomatiques et financiers de sa marraine algérienne.
Aujourd’hui, seuls 34 pays, notamment en Afrique anglophone et en Amérique Latine, continuent de reconnaître la virtuelle RASD. Le retour attendu du Maroc au sein des instances de l’Union Africaine (UA) convaincra très certainement les derniers récalcitrants de la justesse de la cause marocaine sur ses provinces sahariennes.
Nul ne peut contester que la diplomatie marocaine continue d’asséner des coups de massue irréversibles à ses adversaires provoquant blues et déprime chez les polisariens et les dirigeants algériens qui ne savent plus à quel saint se vouer.

Ce nouveau revers porté aux pontes du polisario et aux dirigeants algériens intervient alors que la situation sociale en Algérie est dramatique en raison de la chute du prix du pétrole, unique ressource de ce pays qui dépend à plus de 90% de l’extérieur pour nourrir sa population. Il est acquis que le Fonds Monétaire International (FMI) se présentera bientôt au chevet d’une Algérie malade. Aussi serait-il temps aux miliciens du polisario et à leur Chef, Brahim Ghali, recherché par la justice espagnole pour de multiples crimes et délits, de penser sérieusement à se trouver un point de chute pour finir leurs jours.

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