Cet article a été édité le 18 fevrier 2015 et comme annonce dans mon précédent article intitule ¨LE TRAQUENARD QUE DOIT EVITER LE JOURNALISTE¨. Pour cela j estime démontrer, combien, je rejette certains comportements de certains journalistes, qui ne respectent pas les fondement du journaliste. C est mon point de vue personnel.Comme je présente mes excuses a mes lecteurs  pour certaines fautes les accents par exemple puisque je dispose d’un clavier Espagnol.

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Le monde actuel est en effervescence en particulier le monde arabe. Les guerres civiles et militaires, la démocratisation ou dictature et la course au pouvoir. Cela a provoqué une déstabilisation quasi générale jamais vécue dans ce monde si ce n’est l’ingérence de la grande puissance dans les affaires intérieures de ce monde arabe en particulier et l’instrumentalisation beaucoup fréquentes des chefs d’états arabes. Résultat : ce sont ces grandes puissances qui tirent profit des conflits interarabes qui les poussent à l’achat des armes pour s’entretuer oubliant les projets de développement de leur pays . Ce sont ces grandes puissances et Israël, qui recourent aux essais de leurs armes sur le corps de l’être humain arabe.
Nos dirigeants ne savent pas que l’allégeance à ces puissances ne peut en aucun cas signifier la longévité du pouvoir du chef de l’état au contraire l’inverse est probable. A titre d’exemple : Chevardnadze de Georgia. Hosni Moubarak d’Egypte ou Benali de Tunisie
Pour revenir au quatrième pouvoir, il ne fait aucun doute que les masses médias toutes tendances confondues sont complice de la situation que traverse le monde arabe. N’est-il pas enseigné au journaliste de s’assurer de l’information et d’être plus objectif avant de publier ou diffuser aux lecteurs cette information ? N’est il pas enseigné aux journalistes d’être neutre dans l’information ? C’est à eux de répondre à ces questions. Hélas’ aujourd’hui, au lieu de garder son visage de quatrième pouvoir qui lui est dévolue a préféré s’aligner dans un camp au détriment d’un autre. Puisque la presse est devenue un instrument manipulé par un Chef d’état, par une personne ou par une organisation soit pour l’appuyer soit pour des règlements de compte et ceci en dehors de toute règlementation de cet organisme aussi important et aussi influant, surtout dans les mentalités aussi fragiles des lecteurs et téléspectateurs arabes.
Peut-être que le quatrième pouvoir a besoin de remède et de révision pour limiter cet abus et freiner l’envahissement de cet organe par des personnes n’ayant aucune relation avec la presse. Seul, en Lybie il y a plus de 70 chaines de télévisions (étatiques et privées). Un pays ou les habitants n’excède pas les 3.000.000 d’habitants. Ce quatrième pouvoir est organisé dans seule voie. Celle ou un journaliste est incarcéré pour une infraction de droit commun soit-elle. Alors là, toute la presse se lève et on nous dit que : ETRE JOURNALISTE N’EST PAS UN CRIME. Moi j’ajoute qu’être journaliste ne veut pas signifier qu’il est un ange.
Personnellement je ne suis pas contre les journalistes mais je suis contre l’abus du journalisme et mon plus grand souhait c’est que cet organisme aussi important prenne l’initiative pour la réorganisation et la réglementation de la presse sinon il perd son autorité de quatrième pouvoir et devient un quatrième parti politique.

SMAILI Lhoucine RME Espagne.