La deuxième chaine marocaine de télévision a présenté le plus long feuilleton  dans l’histoire des feuilletons  diffusés par les chaines marocaines, il s’agit de feuilleton turque intitulé « samihini » en turque « beni  affet » produit par FOX FILM résidant à la capitale de la turc :  et réalisé par : Jourzal Atich avec deux réalisateurs adjoints ; ce feuilleton qui a été commencé dans la deuxième chaine marocaine il y a quatre ans et en cours de diffusion, a attiré plus que 6 millions des téléspectateurs devant leur écran ; ce qui nous a incité à parler sur son importance au niveau de fond et au niveau de forme.
Au niveau de fond, le feuilleton aborde une relation entre deux familles, l’une est modeste et l’autre un peu fortunée et il existe entre ces deux familles un amour qui connait plusieurs entraves et plusieurs obstacles mais avec un peu de patience et de sagesse, les amoureux continuent à en défier ; Farida avec Walid et Kamal avec Manar, leur amour a été fini par le mariage malgré les problèmes en mettant main à main pour atténuer les obstacles et il y des faits secondaires et importants qui passent dans le feuilleton justifiant la contradiction de vie et les soucis des hommes.
Au niveau de forme, vraiment le scénariste est un écrivain innovateur et riche en suspens et il se base dans ses séquences sur les nouveautés pour inciter le spectateur à poursuivre toutes les épisodes ; le directeur de photo a basé bien sur l’encadrement des scènes pour mettre le spectateur au centre des évènements mais il y a scènes qui nécessitent des vues panoramiques ; le directeur de son a fait des efforts pour que le son soit fin et bien écouté ; le décorateur, le maquilleur et l’habilleur comptent sur des paradoxes entre les riches et les pauvres et entre des villas et des immeubles et des maisons simples.
Au fil de tout ça, le spectateur de cette série a besoin d’un grand effort pour la poursuivre jusqu’au bout, c’est pour quoi ; je conseille d’arrêter de telle série pour encourager la poursuite et la bonté des séries c’est de ne pas passer cent épisodes pour poursuivre une autre série.
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Par Tajeddine Mustapha.