A l’intérieur des camps nul n’a le droit de recourir à ‘la justice’
A l’intérieur des camps nul n’a le droit de recourir à ‘la justice’ ,ou n’est autorisé à plaidoyer ou à présenter une quelconque requête devant la juridiction algérienne domiciliée à Tindouf; combien même la personne aurait été malmenée ou humiliée, aurait subi une injustice ou aurait été victime d’abus, de torture et/ ou de viol(s)..
Les milices et officiers Algériens font office de juge, d’avocat, de bourreau et de geôlier.. les camps sont en fait encerclés et protégés par la sécurité séparatiste coiffée par les forces de l’ordre algérien.
L’usage des caméras, des appareils photos ou même des appareils téléphoniques nouvelle génération est strictement interdit.
Les entrées et sorties sont réglementées par des ‘laisser passer’ ou conditionnées par des prises d’otages de certains membres de la famille…
Une réalité de plus en plus alarmante qui nécessite de toute urgence l’intervention et la mobilisation des organisations des droits de l’homme nationales et internationales.
Cette situation sordide empire jour après jour et devient simplement intolérable.
MOUNIA MAAOUNI
Association Sahara Baitouna
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