LA PHASE DE PASSAGE ou LA BONTE ENTRE LES GENS
A ALAIN ET HENRI DE VOIX-BRISES
LA PHASE DE PASSAGE ou LA BONTE ENTRE LES GENS
Merci de tant de poésie
Et de psychologie appliquée
Entre pairs et partenaires
Qui s’admirent et se retrouvent
Par delà les phrases et les phases et les tirs
Et les mots-dits, entre frères…
Après une franche question,
Une simple demande qui doute
Ou je vois l’exercice spontané
De la simple liberté,
Je vous offre ces pensées.
Des réponses fines de clarté, entre amis,
Des excuses élégantes de gentlemen, sincères,
Il y a eu un moment, une phase très belle.
Celle du pardon délicat des prélats
Des grands sages et des seigneurs
Et un moment vertueux
Sur ce parchemin…
Ce forum virtuel, nôtre,
Mais bien franc et vrai,
Qui demain sera effacé.
Il n’en tient qu’au moteur,
Forumactif et ses gestionnaires.
C’est le monde du rêve,
Chaleureux et futile
Qui se confronte à la raison
Du questionnement pur et dur
Mais si spontané, enfin !
Et quand je vois autour de moi,
A chaque instant de la vie réelle,
Comme dans un délire cosmique
Où je me perds,
Nos destins d’hommes farfelus
Et de malades frêles ou en jachère…
Des gens, curieux de leur santé
Combattants en milice,
Un faisceau de mains,
Une lanterne dans un labyrinthe,
Un flambeau dans un marathon,
Pour leurs destinées et leur avenir…
Quand je vois, ces razzias
Nos crocodiles et ces prédateurs,
Défiant les pays où ils prospèrent,
Défiant nos issues et calvaires…
Quand je vois nos célèbres émules,
Ces élégies, ces avatars,
Ces princes bannis, ô Sagesse,
Leurs critiques, affables par moment,
Ou hautaines, des hautes sphères…
Quand je vois, leurs voluptés oubliées,
Hélant les royales splendeurs,
En saints hommes, innocents,
Vaquer à leurs universelles affaires,
Puis, en artistes et amateurs,
Prophètes ou agitateurs,
Défiant la paix séculaire,
Cette grâce ingénue des innocents,
Faire la mouche du coche,
Pour les sortir de leurs lents
Et oublieux sommeils millénaires,
Quand je vois la rue en détresse,
L’école sur la grève,
Ses hooligans et sa presse
Ses syndicats, ses partis déchus,
Leur paresse ou leurs prouesses.
Quand je vois
Ces frontières inhumaines
Où se déchirent et peinent incompris,
Nos ministres et régisseurs
Où sont donc nos droits
Où se terrent nos tribuns
Où sombrent nos libérateurs !
Quand je vois ces méchants
Et ces menteurs et ces profiteurs
Ces parasites et ces tueurs
Qui depuis la nuit des temps
Nous aliènent sans libertés aucunes
Ou presque
Pour être reconnaissant pour certains
Ou simplement
Pour la plupart, sincères !
Là, dans ce trou béant,
Cette bleue et belle Terre…
N’est-ce pas là, La Résurrection,
La Réincarnation, le Jugement ultime
Et les plus hautes peines ?
N’est-ce pas là, l’Enfer ?
C’est triste pour certains !
N’est-ce pas là, le Paradis ?
C’est moins triste pour d’aucuns !
Quand je vois que la cime des arbres
Qui dépassent la profondeur des abysses
Où nous sommes,
Mes amis et mes frères,
Et ces distances que nous parcourons
Blottis, épinglés, fixés,
Sur ce berceau qui tourne…
Là, sous nos pieds,
Sous les chaleurs cosmiques
De ce Soleil qui flambe
Et qui regarde brillant en s’éclatant,
Notre bien petite Sphère…
Quand je vois avec mépris ou envie,
Mes atomes volés, ignares et vides,
Je reste apeuré, étonné, avide
De ce qui passe là-haut.
Là haut quand il fait beau,
Là, suivez mon index de guide,
Par delà le cosmos et ses nuées d’étoiles
Avec leurs tornades d’énigmes.
Le temps, la création, l’inconnu,
L’ignorance, m’interpellent et me noient.
Je ne suis rien,
Je ne suis personne.
Je me rends au vide !
Ce qui fait que je pardonne,
Et que je me remets en question,
Avec mes doutes et mes troubles
A chaque instant, à chaque mot,
A chaque sens, à toute sensation,
Ayant le sentiment d’une particule,
Celui d’un caveau futur
Où le robot ne sent plus rien.
A l’intérieur de ce délire mystique,
Où je ne vois donc rien
De ce qui me façonne,
Ni ce qui me fait agir et tourner
Sur ce monde et ses mystères
Dans cet immense univers
Où je ne suis que matière…
A l’intérieur de ce délire mystique,
Où je ne vois rien de ce qui me façonne
Comme bien, à part entière,
Ce ça, ce rien ne m’apparient guère,
Ce masque, ces vêtements, cette chair
Comme ce moi, ces relents de l’égo,
Ce moi-même, ma personne,
Je pardonne à autrui…
A cet autrui factice
Et ses actes futiles,
Cet acteur gratuit qui s’ignore,
A ses extrêmes fâcheux,
Que j’endure
Comme les images d’un film
Comique, gai ou terrible
Avec ses revers tragiques
Ou ses instants de bonheur
Qui fusent à regret
Ou dans l’amertume…
Je passe par-delà le ton usité
Et l’erreur bonnement induite,
La question innocente et frêle
Ou la judicieuse curiosité.
Je préfère l’oubli au souvenir,
Le renforcement de cet Autrui,
Mon Frère, auquel je pardonne.
Autant qu’à ma personne
S’il y consent, sincère !
Je me préfère, ainsi !
Chassant le mépris et la haine
Chantant l’instant et buvant la vie
Comme autant de germes,
Dans les deux sens que nous sommes !
La vie, en phase avec le cosmos
Et à l’intérieur de moi-même !
Je ne garde comme chaleur
Que le doux du fruit qui passe,
Laissant cet arôme sur la langue,
Le miel sacré de l’indulgence,
L’arbre de la charité : L’amitié.
L’amitié, c’est elle
Ma religion et mes vœux.
C’est à elle, les liens sacrés,
Que je noue avec vous et tisse
Pour tolérer et aimer,
Par dessus les contraintes et les vices
Les vertus, qui ont fait et incarné
Hommes et femmes !
Elle seule, l’Amitié,
Elle seule, la Bonté
Elle seule, la Femme,
Lui seul, l’homme !
Barrez la mention inutile,
Si vous en doutez…
Elles seules,
Me valent tous les rites,
Les piétés diverses ou inutiles
Dans la simple splendeur
Des mets délicats et de la nudité !
J’ai osé déshabiller ainsi
La franchise, la liberté et la dignité
Si vitale et si naturelles pour la personne
Ces actes de compréhension et de sollicitude,
Ces richissimes actes, ces sublimes prouesses,
Ces extrêmes exploits de l’insecte humain,
Cette fleur aux parfums
De sainteté, est la Bonté,
Mes frères et mes sœurs
Humains
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1 Comment
COMPLEMENT ET SUITE
A SAS LE PRINCE MY HICHAM ALAOUI
A HENRI ET ALAIN , AU DR MY HICHAM ALAOUI
« » PHASES DE PASSAGE ET RITES DE BONTE « » »
,
DR IDRISSI MY AHMED
Mardi 15 Avril 2014
Mystique et politique , la vie , l’existence et la citoyenneté
AU PRINCE, PHASES DE PASSAGE ET RITES DE BONTE
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AU DR MY HICHAM ALAOUI,
La grandeur du Maroc et ses intelligentes libertés, cautionnées, homéopathiques, adaptées ou acquises, veut que ce livre du prince de Princeton, émanant d’un prince et non d’un manant, puisse paraître et sortir au jour, afin d’être vendu sans censure au Maroc.
Demain, il pourrait être traduit en arabe ou lu et écrit en berbère pour la plupart des gens, du moins dans ses extraits inédits ou secrets, les plus florissants.
My Hicham agite l’histoire et fait des remous dans le passé, intime mais connu parfois, pour faire éclore un meilleur avenir pour tous les marocains ! Dans les libertés et ce, démocratiquement. Il crée l’évènement. Certes. C’est le livre du Prince pas le Prince de Machiavel ! Et My Hicham, qu’on le veuille ou non, participe avec brio, bravement ou indirectement, à l’évolution du Maroc, son pays, celui qui l’a fait Prince.
Il ‘’veut’’ pour nous, une monarchie moderne, il n’est ni le seul, ni le premier, car et elle est sur le chemin et en belle voie de l’être. Pour être efficace et non subliminaire, agissant et non vertueux par la distance et virtuel, il faut se relocaliser à Rabat. Homme, capital et biens. S’il veut participer, plus ouvertement encore aux affaires, toutes les affaires de ce même Makhzen qu’il vilipende, le corriger ou l’épanouir,.
Hé bien il faut qu’il se décide et pas de trop loin. Car on a tellement d’ennemis ou d’adversaires, qui profitent et agitent ces arguties ou ces dissensions de Palais, pour nous en imposer et nous affaiblir. L’union permet de mieux affronter l’avenir et de se liguer face aux dangers et aux forces inconnues…A moins que ?
Dès lors, il faut, on a besoin qu’il se détermine. Sans arrogance ni mépris, sans exclusives, mais avec la fierté et le sémillant bagou qu’on lui sait. Homme de caractère, dynamique et plein de courage, depuis qu’il était ‘’carabin’’. Le french doctor de cette monarchie pour en surveiller les symptômes de l’intérieur et en espérer être le Médicament effervescent.
Il peut aussi le faire évoluer son makhzen de pays, de l’intérieur, sans conflits incandescents, sans connivences ni sourdement. Il ne faut qu’un peu plus de volonté et de courage, un peu plus d’intelligence, ce qu’il engrange magnifiquement.
Alors, il pourrait, s’il y tient, afin de nous faire évoluer, ouvertement, avec lui, avec le temps, sans la cohue, sans fracas et légalement ! Sans corruption, sans mensonges ni concessions, sans conspirations ni médisances, ce qu’il faut qu’il admette, face à ceux qui médisent de Son Altesse ! Parce que nous vieillissons ! Et que par devoir et admiration, nous le respectons.
Nous tous, haïssons les frasques mensongères, les fracas inutiles des hooligans, les révoltes de salons, rétrogradantes, antinomiques, pour sauvegarder le Maroc. La paix et toutes ces valeurs ancestrales qui font le Maroc et son enracinement culturel et cultuel, dans le passé et dans le présent. Une île, ouverte, une exception parmi tant de pays, qui ont connu de lourds chamboulements…Inutiles !
Voici quelques mots tissés, hier, en regardant faire, deux ténors d’un forum, qui agissent pour le bien des malades cancéreux, mais qui ne se sont pas compris, pour une phrase, une phase donnée, juste un moment.
BONNE ET PROFITABLE LECTURE
PHASES DE PASSAGE OU DE LA BONTE ENTRE LES GENS
A Alain et Henri de Voix-brisées
Merci de tant de poésie
Et de psychologie appliquée
Entre pairs et partenaires
Qui s’admirent et se retrouvent
Par delà les phrases et les phases et les tirs
Et les mots-dits, entre frères…
Après une franche question,
Une simple demande qui doute
Ou je vois l’exercice spontané
De la simple liberté,
Je vous offre ces pensées.
Des réponses fines de clarté, entre amis,
Des excuses élégantes de gentlemen, sincères,
Il y a eu un moment, une phase très belle.
Celle du pardon délicat des prélats
Des grands sages et des seigneurs
Et un moment vertueux
Sur ce parchemin…
Ce forum virtuel, nôtre,
Mais bien franc et vrai,
Qui demain sera effacé.
Il n’en tient qu’au moteur,
Forumactif et ses gestionnaires.
C’est le monde du rêve,
Chaleureux et futile
Qui se confronte à la raison
Du questionnement pur et dur
Mais si spontané, enfin !
Et quand je vois autour de moi,
A chaque instant de la vie réelle,
Comme dans un délire cosmique
Où je me perds,
Nos destins d’hommes farfelus
Et de malades frêles ou en jachère…
Des gens, curieux de leur santé
Combattants en milice,
Un faisceau de mains,
Une lanterne dans un labyrinthe,
Un flambeau dans un marathon,
Pour leurs destinées et leur avenir…
Quand je vois, ces razzias
Nos crocodiles et ces prédateurs,
Défiant les pays où ils prospèrent,
Défiant nos issues et calvaires…
Quand je vois nos célèbres émules,
Ces élégies, ces avatars,
Ces princes bannis, ô Sagesse,
ô Amour , ô Généreux Hicham !
Leurs critiques, affables par moment,
Ou hautaines, des hautes sphères…
Quand je vois, leurs voluptés oubliées,
Hélant les royales splendeurs,
En saints hommes, innocents,
Vaquer à leurs universelles affaires…
Puis, en artistes et amateurs,
Prophètes ou agitateurs,
Défiant la paix séculaire,
Cette grâce ingénue des innocents,
Faire la mouche du coche,
Pour les sortir des lenteurs
De leurs oublieux sommeils millénaires…
Quand je vois la rue en détresse,
L’école sur la grève,
Les sabres, les drogues et les glaives,
La santé surtaxée et qui paresse,
Ses hooligans et sa presse
Ses syndicats, ses partis déchus,
Leurs méprix, leurs prouesses…
Quand je vois
Ces frontières inhumaines
Où se déchirent et peinent incompris,
Nos ministres et régisseurs…
Le premier Diplomate , maté
Dénudé sur les tarmacs !!
Où sont donc nos droits ?
Où se terrent nos tribuns ?
Où sombrent nos libérateurs ?
Quand je vois ces méchants
Et ces menteurs et ces profiteurs
Ces parasites, ces meneurs, ces tueurs
Qui depuis la nuit des temps
Nous aliènent sans libertés aucunes
Refuzniks ou presque
Pour être reconnaissant pour certains
Ou simplement naïfs,
Pour la plupart, sincères !
Là, dans ce trou béant,
Cette bleue et belle Terre…
N’est-ce pas là, La Résurrection,
La Réincarnation, le Jugement ultime
Et les plus hautes peines ?
N’est-ce pas là, l’Enfer ?
C’est triste pour certains !
N’est-ce pas là, le Paradis ?
C’est moins triste pour d’aucuns !
Quand je vois que la cime des arbres
Qui dépassent la profondeur des abysses
Où nous sommes,
Mes amis et mes frères,
Et ces distances que nous parcourons
Blottis, épinglés, fixés,
Sur ce berceau qui tourne…
Là, sous nos pattes d’arachnides,
Sous les chaleurs cosmiques
De ce Soleil qui flambe
Et qui regarde brillant en s’éclatant,
Notre si petite Sphère…
Quand je vois avec mépris ou envie,
Mes atomes volés, ignares et vides,
Je reste apeuré, étonné, avide
De ce qui passe là-haut,
Allah, mon Dieu !
Là haut quand il fait beau,
Là, suivez mon index de guide,
Par delà le cosmos, ses nuées d’étoiles,
Leurs tornades d’énigmes,
Echos du Big Bang qui tonne !
Le temps, la création, l’inconnu,
L’ignorance, m’interpellent et me noient.
Je ne suis rien,
Je ne suis personne.
Je me rends au vide,
Et ça m’étonne !
Tout cela fait que je pardonne,
Et que je me remets en question,
Avec mes doutes et mes troubles
A chaque instant, à chaque mot,
A chaque sens, à toute sensation,
Toute la création.
Ayant, comme vous mes pairs
Le sentiment d’une particule,
Celui d’un caveau futur
Où le robot ne sent plus rien.
A l’intérieur de ce délire mystique,
Où je ne vois donc rien
De ce qui me façonne,
Ni ce qui me fait agir et tourner
Sur ce monde et ses mystères
Dans cet immense univers
Où je ne suis que matière…
A l’intérieur de ce délire mystique,
Où je ne vois rien de ce qui me façonne
Comme une âme à part entière,
Ce ça, ce rien ne m’appartient guère.
Ce ne sont que masques,
Ces vêtements, cette chair
Ces relents de l’égo,
Ce moi-même, ma personne,
Qui font qu’envers autrui,
Je ne suis qu’un miroir.
A ce mime factice
Et ses actes futiles,
Cet acteur gratuit qui s’ignore,
A ses extrêmes fâcheux,
Que j’endure
Comme les images d’un film
Gai, terrible ou comique,
Avec ses revers tragiques
Ses instants de bonheur,
Qui fusent à regret,
Dans l’amertume…
Je passe par-delà le ton usité
Et l’erreur bonnement induite,
La question innocente et frêle
Ou la judicieuse curiosité.
Je préfère l’oubli au souvenir,
Le renforcement de cet Autre,
Mon Frère, auquel je pardonne.
Autant qu’à ma personne
S’il y consent, sincère !
Je me préfère, ainsi !
Chassant le mépris et la haine
Chantant l’instant et buvant la vie
Comme autant de germes,
Dans les deux sens que nous sommes !
La vie, en phase avec le cosmos
Et à l’intérieur de moi-même !
Je ne garde comme chaleur
Que le doux du fruit qui passe,
Laissant cet arôme sur la langue,
Le miel sacré de l’indulgence,
L’arbre de la charité : L’amitié.
L’amitié, c’est elle
Ma religion et mes vœux.
C’est à elle, les liens sacrés,
Que je noue avec vous et que je tisse
Pour tolérer et aimer,
Par dessus les contraintes et les vices
Les vertus, qui ont fait et incarné
Les Humains !
Elle seule, l’Amitié,
Elle seule, la Bonté
Elle seule, la Femme,
Lui seul, l’homme !
Barrez la mention inutile,
Si vous en doutez !
Elles seules,
Me valent tous les rites,
Les piétés diverses ou inutiles
Dans la simple splendeur
Des mets délicats et de la nudité !
J’ai osé déshabiller ainsi
La franchise, la liberté et la dignité
Si vitales, si naturelles pour la Personne
Ces actes de compréhension et de sollicitude,
Richissimes donations et sublimes prouesses,
Ces extrêmes exploits de l’Insecte…
Humain de surcroit !
Cette fleur aux parfums
De sainteté, est la Bonté,
Mes frères et mes sœurs.
Kénitra, ce dimanche 13 avril 2014