avec ma solitude
Je tourne mes yeux vers les murs qui m’entourent
J’entends quelques pas de ma solitude
Qui frappe ma porte
Je n’ose pas ouvrir cette grande porte de bois vif
Il fait froid, mes mains commencent à se trembler sarcastiquement
C’est cette minable solitude qui me fait froid d’horreur
Je vois les rideaux et le vent qui souffle
Sa voix étrange et horrible me panique
J’allume ma soirée par un verre de thé chaud
Pour calmer mes désires torrides
Et nourrir mes plaisirs éparpillés
Sur les murailles de ma volonté
Je m’ennui
Le sommeil titille mes paupières
Je pars pas à pas
Puis je m’abstiens en silence et sérénité
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