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Moi et la vie

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-Vie, puis je te questionner ?

..Oui.

-est ce que je  continus de rêver ou j’arrête ?

Tu as dis que le bonheur ce n’est pas avoir une voiture ou beaucoup d’argent ou une grande villa avec des servantes

Ecoute, le rêve c’est comme si tu prends ton vélo et tu fais une grande tourner et tu reviens a ta maison, le rêve c’est comme si tu voyages dans ton cœur cherchant tes envies et comment les réaliser et tu reviens a ton foyer âpres une grande soirée de fantasme. Je sais que tu cherche la raison des choses et je sais que dans chaque chemin tu écris une interrogation, je sais que tu as le courage, la patience, le pouvoir mais as-tu la carte pour ne pas se perdre ? As-tu un plan B ? As-tu une arme pour  combattre ce lui qui veux te faire mourir, juste parce que, tu es la personne qui va marquer le but de la qualification, juste parce que, tu es le seul personne mahométan qui a pus dire la vérité même si tu es si faible. Tu cours dans ce parcours sans repos. Tu cours comme si tu es Haile Gebresselassie ou Usain ou même Hicham el Guerrouj, tu cours comme si tu es un cheval libre dans le désert mortel. Tu as dis que le bonheur ce n’est pas avoir une voiture ou beaucoup d’argent ou une grande villa avec des servantes. Toi, tu es trop loin de ces envies, tout ce que tu veux c’est d’être un humain. Tu es riche avec ton bonheur, tu es heureux comme ca, naturellement, car la vie est belle, car tu m’as donné un cœur pur et des yeux  pour voir et pour que nos regards se change, car tu écris des scénarios dans la même page, dans le même mot. Je sais que tu veux faire revenir ce nom anonyme, je sais que tu veux écrire une phrase parfaite qui contient un nom et un verbe et un complément d’objet indirecte. Je sais que tu veux une baguette magique pour faire apparaître l’image empyrée mais malheureusement elle n’est pas encore finie. Je sais que chaque soir, tu dessines mon regard vif concupiscence, un regard qui te donne une grande puissance. Tu me considère comme ta mère qui se réveille tôt le matin pour préparer du lais au chocolat pour que tu sois en forme, et comme ton brave père, l’homme de la vérité, le courageux, l’audacieux. Tu m’as donné une personnalité, du sang et des veines, un souffle, comme si j’ai le droit aussi d’être un humain, merci encore. Je sais que tu ne veux pas descendre de la lune, juste parce que tu veux absolument trouver cette lumière qui cache la clef qui ouvre une maison, un autre monde, un autre univers. La clef qui ouvre ta chambre pour la première fois et tu dis en fin c’est ma chambre, Tu cherche la lumière qui a dessiner cette petite image poser sur le bureau de monsieur espoir. Tu rêve, et c’est peut-être ton seul travaille. Peut-être, c’est toi, monsieur espoir.

-De qui tu parle ?

…Bon dieu, de toi !

-Je croyais que tu parlais d’un personnage historique
…Tu es un personnage historique

-Et qu’elle est mon nom ?

…Tu as oublié ton nom ?

-Oui, dans la page 1000

…Je pense que c’est la dernière

-Oui

-Vie, une question ?

…Oui, avec plaisir

-As-tu un rêve

…Je suis un rêve

-Même le rêve a un rêve

…Tu as raison

Je rêve d’un sourire qui change l’histoire, qui change chaque mot ébène, qui me change, je rêve aussi, je sens aussi, je vois, je donne et je prends

Je rêve d’une seule chose, je rêve de cette personne déplorable qui continus de pleurer, je rêve de cette personne qui écrit des lettre pour qu’il se libère, pour qu’il ne tue pas le reste de son cœur pourpré, pour qu’il vit dans une petite chambre hermétique, il ferme ces yeux pour voir que le magnifique. Je rêve d’un sourire qui change l’histoire, qui change chaque mot ébène, qui me change, je rêve aussi, je sens aussi, je vois, je donne et je prends. Je rêve de la réalité qui se réveille plus tôt et qui prend son chemin pour gommer l’illusion, et en fin, en fin fiston, elle va te saluer, te saluer avec ses mains froide et plus dur. Je rêve aussi de cette réalité qui va te faire savoir sans poser d’autre question. Je rêve de toi entrain de crier, de hurler que rien n’est terminé, rien n’est flambé. Je continus de rêver. J’observe ces âmes heureuses et les fleurs chanteuses, j’observe le coucher de soleil, et ton cœur qui bat au rythme du piano. Mon dieu, qui suis-je ?


-La vie, ma vie, Vie, Jasmine

…Tu m’as donné même un nom, mais pourquoi ?

-Tu es la seul amie qui ma rendu gai. Je me sens plus loin de ces gens faible et déprimée, plus loin de cette personne qui a maudit son sort et il pleure toujours dans son coin sombre. Je suis naturellement heureux car tu es une sorte de magie, tes yeux me présente l’être que je suis, ton regard c’est toute la poésie.

…Merci

-Non, je te remercie .

Khalid El Morabethi / oujda

Lycee Asalam

 

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2 Comments

  1. Amina
    10/03/2011 at 10:44

    El Morabethi? je pense que je te connais

    j’ai tout a fait bien aimé ce texte

  2. Anonyme
    11/03/2011 at 16:18

    my aussi

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