Je suis un noir et blanc, un pauvre et riche, un méchant et un vertueux. Salamalecome, et paix pour ceux qui cherche le calme a l’intérieure, prés de leurs cœur et ceux qui cherche un nouveaux souffle vif et ceux qui veulent être juvénile. Salut étoile éblouissante, dans ce noir ténébreux, tu es la seul étoile aveuglante, tu m’as questionné un jour, comme si tu étais une créature vivante qui vit a 40.000 milliards de kilomètres. Qu’est ce que j’aime ? J’aime fermer mes yeux et les ouvrir pour estimer le gout du soleil, comme si c’est la première fois. J’aime parler d’une chose qui n’existe pas, j’aime dormir tôt et me réveiller a 6 :00 h du matin pour admirer le réveille du soleil. Chère onéreuse étoile, j’aime te louanger, et écrire mes jours qui passent précipitamment, plus vite que ce temps qui nous rends des coureurs et des chasseurs des moments rare.

Tu sais Madame Star, J’aime le zénith de mon pays. Mon petit pays dans le nord-ouest de l’Afrique. L’Afrique qui casse le feu avec des mains rouge, blanc et vers, avec du noir, jeune, et le bleu, qui casse les trêves avec des cœurs nuance, L’Afrique qui n’a pas besoin de personne pour l’aider et ni même des chanteurs pour chanter la peine qui n’existe même pas, on travaille avec nos esprits des lions et les éléphants, on ait des héro mais sans nom. Je suis une star africaine. On ait les gardiens éléphantesques qui protègent L’Afrique. Donc revenant à ce chapitre : Qu’est ce que j’aime ? J’aime ma ravissante mère qui ma livrer la paix, le calme, le vrais amoure, cette personne qui ma rendu indomptable, cette cause d’être ici, et qui ma montrer le ben chemin et qui ma conseiller d’être un gentleman, j’aime te dire merci pour la 999 mille fois. » Tu sais Madame Étoile  » j’adore t’observer silencieusement en dessinant cette luminance chose, ce reflet rutilance, cette photo phosphorescence. J’aime courir en criant, comme si je cours après mon but, je vise et je tire, il se réveille et il s’enfuit, la course ne termine jamais. J’aime la vie, ce sens, ce gout, cette saveur, ce charme. J’aime terminer mon texte avec une phrase parfaite. Les mots continus et la mémoire ce développe jour après jour.

Khalid El Morabethi