wake up africa!
Wake up Africa !
La visite du président Barak Obama en Afrique, suivit par la
tournée de Mme Clinton sont des signes révélateurs de l’importance
accordée par le gouvernement américain à l’Afrique quant à ses richesse
naturelles et humaines, surtout que la chine est déjà présente dans la
région. L’image maussade tant véhiculée par les médias traduisant la
famine et la sécheresse qui battent le continent de plein fouet, ne
sont que le revers de la médaille d’une Afrique considérée comme le
coffret des ressources naturelles, d’autant plus que la Mineraie la
plus précieuse est emmagasinée dans le sous-sol africain : or et
diamants en Afrique du Sud, cuivre en République démocratique du Congo
et en Zambie, phosphate au Maroc (premier exportateur mondial)…,
ajoutant que l’OPEP regroupe quatre pays africains : Libye, Nigeria,
Angola et Algérie. D’un autre point de vue, Malgré les magnifiques
guides touristiques, catalogues, flyrs,… pour racoler les touristes et
les hommes d’affaires, le taux élevé de la corruption joint à L’absence
d’une bonne gouvernance, enlisent la région dans la précarité et dans
le cloisonnement, et continuent de gangrener le continent, une
situation ayant pour corollaire la fuite des IDE vers d’autres régions
plus saines.
tournée de Mme Clinton sont des signes révélateurs de l’importance
accordée par le gouvernement américain à l’Afrique quant à ses richesse
naturelles et humaines, surtout que la chine est déjà présente dans la
région. L’image maussade tant véhiculée par les médias traduisant la
famine et la sécheresse qui battent le continent de plein fouet, ne
sont que le revers de la médaille d’une Afrique considérée comme le
coffret des ressources naturelles, d’autant plus que la Mineraie la
plus précieuse est emmagasinée dans le sous-sol africain : or et
diamants en Afrique du Sud, cuivre en République démocratique du Congo
et en Zambie, phosphate au Maroc (premier exportateur mondial)…,
ajoutant que l’OPEP regroupe quatre pays africains : Libye, Nigeria,
Angola et Algérie. D’un autre point de vue, Malgré les magnifiques
guides touristiques, catalogues, flyrs,… pour racoler les touristes et
les hommes d’affaires, le taux élevé de la corruption joint à L’absence
d’une bonne gouvernance, enlisent la région dans la précarité et dans
le cloisonnement, et continuent de gangrener le continent, une
situation ayant pour corollaire la fuite des IDE vers d’autres régions
plus saines.
Dans l’état actuel des choses, les rencontres se
multiplient sous différentes appellations : forum, colloque, séminaire,
symposium,…En effet, ce n’est pas les meetings qui manquent mais c’est
les actions qui font défaut. Le continent noir n’a pas besoin des aides
étrangères pour sortir de son impasse, mais de le mettre sur le siège
du conducteur pour cerner et traiter ses maux, vu que le processus de
Washington a déjà montré ses limites dans plusieurs pays du continent.
En revanche, Celui-ci doit valoriser davantage ses compétences et sa
jeunesse qui quittent la région pour s’installer sous d’autres cieux en
quête de bonnes conditions de travail. A en croire Jean Bodin : « Il
n’est de richesses que d’hommes ». Les gouvernements africains doivent
en outre procéder à l’assainissement et à la mise à niveau des leurs
institutions afin de les mettre au diapason des normes internationales
et de les rendre aptes à prendre la relève pour mettre le holà aux
crises, maladies et conflits qui sévissent dans la région. Le continent
noir doit œuvrer en faveur d’une intégration régionale efficace qui
demeure une voie privilégiée pour atteindre le bout du tunnel. D’après
le rapport publié par la CNUCED en juin dernier, l´intégration
régionale est essentielle pour un développement soutenu du continent,
surtout dans le contexte de la crise actuelle. Que ce soit en
construisant des routes revêtues en dur ou en améliorant la coopération
bancaire, il faut absolument développer les relations entre les pays
pour stimuler leur croissance économique. La faiblesse des
infrastructures matérielles et institutionnelles est en effet le
principal obstacle au développement du commerce et de l´investissement
sur le continent. La stimulation d’une telle intégration passe par la
mise en place des infrastructures de base les réseaux routiers,
ferroviaires et aériens, télécommunications, toutefois, sans un
rapprochement politique, et un rapprochement économique qui sous-tend
les mesures douanières, l’accès facile aux marchés et les
investissements intra régionaux, l’avancement de cette démarche
traînera longtemps.
multiplient sous différentes appellations : forum, colloque, séminaire,
symposium,…En effet, ce n’est pas les meetings qui manquent mais c’est
les actions qui font défaut. Le continent noir n’a pas besoin des aides
étrangères pour sortir de son impasse, mais de le mettre sur le siège
du conducteur pour cerner et traiter ses maux, vu que le processus de
Washington a déjà montré ses limites dans plusieurs pays du continent.
En revanche, Celui-ci doit valoriser davantage ses compétences et sa
jeunesse qui quittent la région pour s’installer sous d’autres cieux en
quête de bonnes conditions de travail. A en croire Jean Bodin : « Il
n’est de richesses que d’hommes ». Les gouvernements africains doivent
en outre procéder à l’assainissement et à la mise à niveau des leurs
institutions afin de les mettre au diapason des normes internationales
et de les rendre aptes à prendre la relève pour mettre le holà aux
crises, maladies et conflits qui sévissent dans la région. Le continent
noir doit œuvrer en faveur d’une intégration régionale efficace qui
demeure une voie privilégiée pour atteindre le bout du tunnel. D’après
le rapport publié par la CNUCED en juin dernier, l´intégration
régionale est essentielle pour un développement soutenu du continent,
surtout dans le contexte de la crise actuelle. Que ce soit en
construisant des routes revêtues en dur ou en améliorant la coopération
bancaire, il faut absolument développer les relations entre les pays
pour stimuler leur croissance économique. La faiblesse des
infrastructures matérielles et institutionnelles est en effet le
principal obstacle au développement du commerce et de l´investissement
sur le continent. La stimulation d’une telle intégration passe par la
mise en place des infrastructures de base les réseaux routiers,
ferroviaires et aériens, télécommunications, toutefois, sans un
rapprochement politique, et un rapprochement économique qui sous-tend
les mesures douanières, l’accès facile aux marchés et les
investissements intra régionaux, l’avancement de cette démarche
traînera longtemps.
Par : Khadija Yazidi
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