Albright, Rice, Hillary et Livni : quatre ministres pour les Arabes
Les lecteurs du monde entier ont suivi sur toutes les chaînes de télévision l’affaire Monica Lewinsky dite à l’époque ‘’Monicagate’’. En effet, à cette époque le président des Etats-Unis, Bill Clinton, a été soupçonné d’avoir eu des relations sexuelles avec une secrétaire stagiaire à la Maison Blanche.
Libertin et débauché, Bill Clinton est sans soute le premier président à savoir l’impact des dames sur les hommes surtout quand ces hommes sont des dirigeants haut placés dans les sphères de l’Etat ; il a compris les instincts pervers, libidineux et voyeurs de certains gouvernants c’est pourquoi il a désigné à la tête de son secrétariat aux affaires étrangères une femme en nommant à ce poste la grosse matrone Madeleine Albright qui vient s’affaisser dans les fauteuils des chefs d’Etat ou de gouvernement et de certains ministres. Cette femme ronde et molle n’hésite pas à relever la jambe droite pour la poser sur la jambe gauche, ce qui laisse entrevoir sa lingerie féminine et une bonne partie de ses cuisses flasques et bouffies, au grand bonheur du vis-à-vis qui la regarde de biais tout en laissant durer l’entrevue pour faire durer le spectacle.
Bill Clinton laisse à son successeur Georges walker Bush l’héritage de nommer des femmes au poste de secrétaire d’Etat aux affaires étrangères ; héritage dont il fait si bien usage en nommant au même poste Condoleezza Rice qui est beaucoup plus jeune et beaucoup plus sèche que sa devancière mais de couleur différente puisqu’elle est noire. Elle aussi, comme elle l’a sans doute appris dans le protocole des coulisses de la Maison Blanche, découvre ses cuisses de grillon et de manière plus voyante encore que la vieille carcasse qui lui a cédé sa place et ses manières : comme elle est plus maigrichonne et plus grande de taille, ses jambes vont encore beaucoup plus loin quand elle les croise.
Quant à Barak Obama, il a déjà choisi celle qui va prendre la place de Condoleezza Rice en nommant à ce poste Hilary Clinton, la femme de l’ex-président des Etats-Unis, l’initiateur des nominations des femmes au poste de secrétaire d’Etat aux affaires étrangères. Cette femme, plus petite et plus ramassée que ses devancières ne va sûrement pas faire exception à la règle car elle a été choisie pour honorer son pays dans les instances internationales en montrant une partie de son corps aux dirigeants qu’elle va rencontrer. Cette femme rondelette va jouer plus de son corsage et de son arrière train qu’elle ramasse dans des tailleurs coupés de manière à mettre en évidence les rondeurs accidentées de ses fesses. Les dirigeants chez qui elle sera en visite auront surtout à attarder leur regard sur une secrétaire d’Etat aux affaires étrangères vue de dos, et de bas.
Mais il semble bien que le protocole mis en vigueur par Bill Clinton est mis en pratique par d’autres nations dites policées. En effet, Israël a, lui aussi, un ministre des affaires étrangères féminin, en la personne de Tzipi Livni. Cette truie à face de bulldog use du charme de ses joues à pommettes de poulets surgelés qu’elle offre aux lèvres épaisses et charnues des hommes de la région dont elle obtient aisément l’assentiment pour commettre ses crimes contre les civils de Gaza.
En conclusion, les quatre femmes ministres reviennent à leur pays qui avec un compromis, qui avec un contrat, qui avec un laisser-faire, moyennant un sourire, un contact tactile, une accolade, un regard…Bref, elles ne reviennent jamais chez-elles les mains vides surtout que les gouvernants chez qui elles sont souvent en visite sont les mêmes depuis un quart de siècle et plus, donc répondant bien au réflexe conditionné créé chez eux.
3 Comments
contunuez a faire des commentaire dans ce style car c’est trés interessant et bonne continuation de ta belle souer fatima merci
bravo continuez me censure pour avoir dit ce que je pense de cet article bravo a vous les censureurs .oui cet la liberte d’expresion dans nos pays arabe.bravo oujda city
Parfois il est bon d’être une femme pouvant exhiber sa matière blanche et grise ^sans se soucier de regards « hasbeen » et contrairement à ce journaliste ici ne sachant faire qu’une chose : Penser un peu trop « vit » ^^