Bons baisers de Guerguerat, au Sahara marocain
Farid Mnebhi.
Les polisariens auraient bombardé, selon un communiqué fantaisiste de la pseudo armée de galopins polisariens publié le 23 janvier 2021, la zone de Guerguerat et ses environs, au Sahara marocain. Ces rigolos polisariens auraient tiré quatre missiles en direction de Guerguerat selon la boite à mensonges dite agence de presse sahraouie (SPS).
Ce même communiqué fait état également d’attaques polisariennes de harcèlement le long du mur de sécurité sans que cela ait eu un impact quelconque sur le trafic routier entre le Maroc et la Mauritanie.
Ces pseudo attaques terropolisariennes ne sont en fait que de la pure propagande puisque Rabat a affirmé, le 24 janvier 2021, que la situation à Guerguerat est des plus calme et que le trafic routier entre le Maroc et la Mauritanie, et au-delà vers l’Afrique subsaharienne, n’est point perturbé.
Il est acquis que la propagande algéro-polisarienne tente vainement de montrer une zone de guerre, notamment au niveau du poste frontalier de Guerguerat. Que cela soit bien clair, le passage de Guerguerat, suite aux instructions du Roi Mohammed VI du Maroc, est sécurisé par les Forces Armées Royales marocaines depuis novembre 2020, date à laquelle les milices terropolisariennes ont entamé des harcèlements.
Ces mensonges terropolisariens s’inscrivent tout bonnement dans un cycle de harcèlement depuis plus de trois mois avec une volonté de créer une guerre de propagande, une guerre de médias, sur l’existence d’un conflit armé au Sahara marocain à travers des fake news, des communiqués de guerre, des dépêches et des reportages quotidiens sur des accrochages imaginaires, relayés par une certaine presse française dont il est pratiquement acquis en ces temps de pandémie à la COVID-19 d’avoir perçu des sommes sonnantes et trébuchantes venant des caporaux algériens.
Au fait, les terropolisariens ne font que tirer sur les hyènes et les fennecs qui rêvent d’en faire un bon festin et ce, en plein milieu du territoire algérien, ni plus, ni moins.
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