« Les effets contrastes et causatifs du mot sacré »
Mohamed BEN YAICH
En premier lieu ,il faudrait dire que chaque mot détiendrait sa valeur selon son orateur.il dépend du sens , accent ,voix ,phonation etc.
Le sens lui-même se réfère à la conception, imagination, figuration, émotion ou affection ; ainsi de suite. On dit que « chaque vase répand depuis son contenu ».
Le contenu aussi s’appuie sur le taux et la nature de la connaissance dont il se dispose.
Les paroles, donc, vont se diviser en divers niveaux et valeurs : sensées, insensées .creuses ou épaisses, significatives ou vaines, sérieuses ou curieuses etc.
Lorsqu’il s’agit du mot sacré, plutôt le texte divin en particulier, provenant de la haute présence divine, La comparaison ici serait tout a fait différente, et l’évaluation devrait être appliquée d’une autre façons et méthode.
C’est pour une simple raison logique : le créateur est plus précieux et énorme que sa créature. De là ; cette dernière ne se disposerait que par la loi fournie et admise de son propre créateur.
En résulte : la parole de « dieu », donc, est plus efficace et significative que celle de n’importe quelle créature contingente, qui était, depuis un tout petit moment, dans le néant absolu et l’obscurité sombre.
Le texte sacré, coranique, en particulier, comporte cet ample sens miraculeux, qui englobe toutes les connaissances utiles et significatives, de haut niveau et transcendance.
Nous nous contenterions pour le moment à traiter notre objectif souligné au titre de ce modeste article, qui est le double effet du mot coranique sur la conception et l’émotion de son lecteur.
si par exemple vous rejeter un mot par pique contre une telle personne, il lui arrive dans l’esprit qu’il est visé en direct ,cela ,certainement, va lui provoquer d’une façon ou autre.
Par conséquent, il va riposter selon sa méthode et sa volonté et sa possibilité.si le mot est blessant ou offensif la relation sera naturellement négative .or, si le contraire, que la parole est bien flattante, chatouillante, qui avait le ton de caresser les sentiments, la réaction dans la plupart des cas sera l’épanouissement et l’agreement. Ce qui veut dire en fin qu’il n’a n’y avait que deux effets opposés : dépression douloureux ou satisfaction soulageante, pas de neutralité envers l’impact, soit que se soit sa nature !.
Le texte coranique vient d’instaurer ses deux sens à la fois en divisant les réactions envers sa lecture ou écoute en trois catégorie selon l’attention et l’intention des désignés.
Les premiers ce sont les croyants, fidèles, dévoués et véridiques .pour eux, l’effet d’écouter la parole de « dieu » et l’ évoquer d’une façon consécutif sera très positif et satisfaisant. a propos, la tranquillité et la bonheur descendent sur leur cœurs et les rendent calmes, heureux, pleins de joie interne, incomparable et inséparable, plutôt vivant spirituellement.
« الَّذِينَ آَمَنُوا وَتَطْمَئِنُّ قُلُوبُهُمْ بِذِكْرِ اللَّهِ أَلَا بِذِكْرِ اللَّهِ تَطْمَئِنُّ الْقُلُوبُ الَّذِينَ آَمَنُوا وَعَمِلُوا الصَّالِحَاتِ طُوبَى لَهُمْ وَحُسْنُ مَآَبٍ »سورة الرعد
Les deuxièmes ,à l’encontre de l’autre rivage, ce sont les mécréants , plutôt les athées ,qui ne croient à rien et n’écoutent rien , plongés jusqu’au nez dans le néantisme provoqué ou façonné artificiellement par des illusions et confusions prolongées .Il sont prisonniers de leur aveuglette et étiquète .ces parasites semi-intellectuelles n’ont effet que de perturber superficiellement la vue chez certains handicapés . Pour s’en débarrasser, simplement il faut essuyer la poussière accumulée sur leur pupilles et paupières, et voila le sens qui prendra sa taille initiale et deviendra tout à fait clair !
Ce mauvais réaction chez les mécréants surviendrait lorsqu’ils viennent d’entendre une lecture coranique ou on leur de mande de le lire attentivement. Ils le refuseraient sans raison, plutôt ils cherchent à montre leurs dégouts et répugnances d’avance. Leurs cœurs vont être serrés jusqu’étouffés !
Que se passe-t-il donc, pourquoi surgit-elle cette contraste et morbide réaction envers le coran dès son premier impact avec leurs cœurs ?ces questions doivent se poser avec instance pour traduire la cause principale de cette émotion foudroyante, qui risque de perforer le cœur d’un athée lorsqu’il écoute une citation coranique lumineuse !.
La raison et la logique consiste qu’aucun effet ne serait sans motif ou cause .et qu’aucune réaction ne pourrait se produire sans son réacteur compatible, qu’il a un tel lien avec tel ou tel. Donc : le texte coranique a sûrement un lien lumineux, sacré, en direct avec les cœurs des êtres humains, soient croyants ou mécréants.
Cet attache proviendrait du créateur vers ses créatures, par l’intermédiaire de la prophétie et de son discours divin et sacré. Ceci ,de par son sens miraculeux , fait irruption de force dans tous les cœurs et vies intérieures des êtres humains vivants ,même s’il sont endurcis ou circoncis.
» وَإِذَا ذُكِرَ اللَّهُ وَحْدَهُ اشْمَأَزَّتْ قُلُوبُ الَّذِينَ لَا يُؤْمِنُونَ بِالْآَخِرَةِ وَإِذَا ذُكِرَ الَّذِينَ مِنْ دُونِهِ إِذَا هُمْ يَسْتَبْشِرُونَ »سورة الزمر.
Il ne manque donc la troisième catégorie qu’on va facilement la rattraper ;c’est le cas des hypocrites ,les plus pires que les athées même.
Ils sont doués de deux façades, la nature des leurs est totalement obscure et sombre .pourtant ils ont des apparences opposantes aux fonds de leurs cœurs, la foi et la conviction religieuse exacte.
Ceux-ci ne pourraient ni évoquer d’une manière persévérante ni divulguer franchement leur mécréance. En terme coranique, ils sont classés, déjà, parmi les mécréants, les plus pires méchants encore.
» إِنَّ الْمُنَافِقِينَ يُخَادِعُونَ اللَّهَ وَهُوَ خَادِعُهُمْ وَإِذَا قَامُوا إِلَى الصَّلَاةِ قَامُوا كُسَالَى يُرَاءُونَ النَّاسَ وَلَا يَذْكُرُونَ اللَّهَ إِلَّا قَلِيلًا مُذَبْذَبِينَ بَيْنَ ذَلِكَ لَا إِلَى هَؤُلَاءِ وَلَا إِلَى هَؤُلَاءِ وَمَنْ يُضْلِلِ اللَّهُ فَلَنْ تَجِدَ لَهُ سَبِيلًا ».سورة النساء.
En fin : le texte coranique demeure toujours un texte miraculeux lançant son effet, irrigants les cœurs affamés et pauvres depuis leur créativité. Leurs sources et moyens ne sont que d’évoquer l’unique dieu, qui en ont besoin dans toute leur existence et persistance…
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