Quelque soit la volonté des décideurs politiques pour l’édification d’un pays, aucun territoire ne peut évoluer, se développer ni progresser que si ses populations adhèrent à cette volonté d’édification et de modernisation. Si le Maroc évolue à une grande vitesse sous le règne de Mohammed VI, les mentalités ne suivent pas, malencontreusement pour autant.
Au fait, aucun territoire ne peut évoluer ni progresser que si ces populations adhèrent à cette volonté politique d’édification et de modernisation qui aspire à tirer le pays vers le haut.
Dans cette perspective, la presse a un rôle important à jouer tout comme elle peut être dangereuse et freiner l’élan du développement surtout quand elle est négativiste, notamment quand elle s’évertue à noircir davantage un tableau déjà noir en se contentant de mettre de l’éclairage sur la moitié vide du verre du fait qu’elle contribue, en passant sous silence la moitié pleine du verre, à aviver la culture de suspicion qui a gagné beaucoup de terrain dans notre pays et approfondit la crise de confiance entre citoyens et citoyens ; citoyens et institutions, institutions et institutions
La presse ne doit chercher ni à plaire ni à déplaire. Elle est appelée à respecter le code de la déontologie, professionnaliser fiabilité et crédibilité en rapportant à l’opinion publique une information avec un maximum d’objectivité.
Que de fois OUJDACITY a été accusé, à tort, d’être l’avocat ou le porte parole de telle ou telle institution, de telle ou telle personnalité aux profits, pourtant diamétralement opposés.
Ces derniers temps, certains de nos visiteurs n’ont pas hésité à nous taxer d’être à la solde du parlementaire Abdenbi Bioui pour la simple raison que nous médiatisons les actions qu’il vient de mettre à exécution dans le cadre d’un vaste programme visant le développement humain et social, programme qu’il érige en priorité principale dans son mandat électorale comme il l’avait promis aux populations de la préfecture OUJDA ANGAD lors de sa campagne électorale. Que Abdenbi Bioui cherche à se faire du charisme ou à élargir sa masse électorale, c’est son droit le plus légitime pourvu qu’il honore ses promesses et soit à la hauteur des aspirations, des attentes des populations et à la hauteur de la confiance que lui a témoignée le corps électorale lors des dernières législatives. La presse, de son côté, n’a-t-elle pas le devoir d’accompagner cette initiative et mettre en exergue les réalisations et le doigt sur les échecs. ?
Sur le front de l’information, OUJDACITY ne caresse jamais dans le sens du poil ni ne verse dans un dénigrement infructueux pour ne pas dire la diffamation et l’opprobre du simple fait que nous sommes fort convaincus que si l’on peut soudoyer la presse, on ne peut jamais acheter ou biaiser le lectorat, majeure et vacciné. Et c’est cette ligne éditoriale, fondée sur ces principes qui a permis à OUJDACITY de voler de ses propres ailes et s’ouvrir sur l’opinion publique à en faire  jaloux et détracteurs.
En effet OUJDACITY est ouvert à tout un chacun qui voudrait s’exprimer en toute liberté pour valoriser une action, un événement ou le critiquer, en dénoncer les dépravations et dérapages pourvu que l’information rapportée soit fiable et crédible et les points de vue exprimés soient basés sur un argumentaire solide et des preuves tangibles, loin de toute critique gratuite, de tout dénigrement, règlement de comte, spéculation politique ou extrapolation infructueuse. Par ailleurs, OUJDACITY, fortement attaché aux 4 fondements de la nation, à savoir l’Islam, la monarchie parlementaire, l’unité territoriale et l’édification d’un état moderne et démocratique, une nation digne, s’oppose catégoriquement à l’étouffement de la liberté d’expression, la censure ou l’autocensure comme nous récusons l’opprobre, le dénigrement ou le règlement de compte politique ou économique.
En somme, il est temps que tous les marocains, quelques soient leurs sensibilités, œuvrent de Concert pour léguer aux générations futures un Maroc fort, démocratique et moderne qui préserve la dignité de tout un chacun, surtout le citoyen lambda, un territoire valorisé et développé, un environnement sain ou sont placés la souveraineté de la loi, l’état de droit et l’autorité de l’état (HIBATO A DAWLA) au-delà de toute considération.