Droit de réponse
Droit de réponse
Pourquoi s’acharne-t- on ces derniers jours sur M. Elarabi ? Selon le rapport des étudiants de l’ENCGO, l’école souffre d’un certain nombre de problèmes – dont M. Elarabi n’est pas l’unique responsable d’ailleurs -. Les quelques journalistes qui se sont emparés du sujet se sont, quant à eux, contentés de reprendre le rapport des étudiants, parfois en mettant les guillemets pour montrer qu’il s’agit d’une citation; parfois, sans les guillemets. Un certain nombre de journalistes dans notre pays ne cherchent pas l’information ; ils ne mènent pas d’enquête et ils ne font pas de reportage. Ils copient des dépêches ou des articles écrits par d’autres … Ces journalistes (ce n’est certainement pas le cas de tous les journalistes marocains. Beaucoup honorent la profession par la rigueur avec laquelle ils travaillent) plagient et se plagient par paresse, par incompétence, ou par méconnaissance des règles d’éthique
journalistique.
Le même article, avec ou sans les guillemets a été reproduit dans quelques journaux et sites d’information. Si ces journalistes avaient pris la peine de creuser un peu plus loin, ils auraient peut être découvert que le mal qui ronge l’ENCGO n’est qu’une petite parcelle d’un malaise qui dévore l’université Mohamed 1 ! La reforme en trompe l’œil de l’enseignement ; le budget colossal du plan d’urgence « envolé » ; les indemnités des professeurs impayées ; les lobbies qui (dé)font les lois de l’université ; les examens qui durent des mois, l’inquiétant taux d’échec dans tous les établissements de l’université… Sur tous les plans, notre université souffre. Les responsables ? Plusieurs. Mais, ils ont la chance d’être entourés d’opportunistes ou de professeurs passifs qui ne se soucient pas du bien être de l’université ou de l’avenir des étudiants du moment que leurs salaires continuent d’arriver
!!
Au lieu de mettre en cause la manière dont l’université a été gérée pendant huit ans ; au lieu de s’interroger sur l’état et l’avenir de notre université, ces journalistes ont tenu à distance des sujets qui exigent un vrai travail journalistique. En attirant l’attention sur M. Elarabi, ils l’ont détourné des vrais problèmes de l’université Mohamed 1 et de l’enseignement au Maroc en général !
La manière dont les étudiants et ces quelques journaux parlent de M. Elarabi est simplement injuste. M Elarabi est un professeur méticuleux, un collègue généreux et un financier exceptionnel. Le couplage entre certains journaux et les étudiants de l’ENCGO est dû à une écriture journalistique peu exigeante. Dès qu’il s’agit d’un scandale, ces journalistes sont là pour le mettre au grand jour ! Peu importe si le scandale en question est fondé sur des faits ou s’il est fabriqué de toutes pièces !
Chourouq Nasri, responsable de la licence professionnelle, médias et communication interactive qui doit sa survie pour la seconde année à l’appui de personnes qui ont l’engagement et la rigueur de M. Elarabi.
Loading...
10 Comments
Je partage votre point vu bien que vous avez, vous même, était moins exigeante dans la recherche de la rigueur requise.
je ne parlerai pas des « faux journalistes » ceux qui ne savent pas quoi faire que mendier. Je reviens sur un point essentiel: le problème de l’université marocaine : jusqu’à certains moment tout se passait comme si ca était normale (les cours les examens, les échecs, les grèves, les abus,…), surtout avec un effort des étudiants combattants.
Avec l’arrivée des nouvelles générations « que j’appelerai des sms », des générations sans repères, des pantalons taille basse, des look dénaturés, un niveau linguistique médiocre, une culture général dérisoire….conjugué à cette état d’esprit « révoltante ». il fallait trouver un alibi pour justifier son incompétence. et par malheur de ce pays, les soit disons « étudiant » croient l’avoir trouvé dans la contestation de leurs professeurs. je me pose la question: comment un étudiant qui a du mal à formuler une phrase correcte, peut il contesté la qualité d’un prof. (je ne ferai nullement pas abstraction du comportement peut être abusifs de certains profs, mais là y’a des canaux bien sages qu’il faut explorer pour résoudre les problèmes, or un canal sage n’est trouver que par les sages). je dirais sans le moindre doute: que le comportement de la plus part des mouvement estudiantins sont sujets à des jeux d’intérêts immatures, opportunistes individualistes: décrocher son diplôme sans le moindre gène ni effort, bien sur à travers des bonnes notes donnée par « des bons profs aux yeux des étudiants » : d’ailleurs c’est devenu la culture de tout le monde : danser, se décolleter, voler pour arriver à ….. Facilement. Contester son profs. Pour sa rigueur et devenu monnaie courante, malheureusement c’est le dernier rempart qui reste à franchir pour s’enfoncer dans l’enfer.
Je fini toujours par dire, j’espère me tromper. A bons analystes
oui voilà … tout le monde a tort sauf Madame Nasri et Mr el arabi … et puis tout est clair en bas … sa filière qui subsiste grâce à Mr el ARABI et d’autres elle existe … comment pourrait-on être objectif en citant ceci dans un article censé dévoiler une part de vérité? c’est l’amalgame … médias et communication … quelle éthique … et puis Madame, rouler les gens dans la farine avec vos propos vagues et vastes donne impression d’ambiguïté, responsable, l’université, les problèmes … surtout ne pas blâmer ces journalistes qui écrivent, dévoile la vérité que malheureusement tu ne connais pas … tu as écris de loin exactement comme ceux que tu blâmes … madame la responsable de la filière communication et médias … le comble de la médiocrité
oui voilà … tout le monde a tort sauf Madame Nasri et Mr el arabi … et puis tout est clair en bas … sa filière qui subsiste grâce à Mr el ARABI et d’autres elle existe … comment pourrait-on être objectif en citant ceci dans un article censé dévoiler une part de vérité? c’est l’amalgame … médias et communication … quelle éthique … et puis Madame, rouler les gens dans la farine avec vos propos vagues et vastes donne impression d’ambiguïté, responsable, l’université, les problèmes … surtout ne pas blâmer ces journalistes qui écrivent, dévoile la vérité que malheureusement tu ne connais pas … tu as écris de loin exactement comme ceux que tu blâmes … madame la responsable de la filière communication et médias … le comble de la médiocrité
Lundi incha’llah, passez au locaux de l’ENCGO pour entendre des centaines de voix d’étudiants contester le comportement anti-pédagogique et anti-méthodologique qui ne cesse de piétiner la dignité de citoyens en lesquels le pays a un grand espoir pour être les leviers d’un Maroc démocratique et développé… un Maroc de demain !!
Avec tout mes respects meme si je ne suis pas un étudiant neutre dans ce conflit votre article manque d’objectivité. Les étudiants de l’ENCGO qui sont de futurs managers et qui ont du caractère ne se soulèveront pas contre un professeur car il ne leur plait pas, mais après « injustice » commise contre eux comme vous l’avez cité.
Je termine en disant que votre article monte complétement de professionnalisme (vous étés influencé par Mr.Arabi)même si une partie est vrai.
Suivez Descactes, commencez par mettre en doute toutes les vérités acquises pour avoir la vérité ultime
pour Mr l’étudiant celui qui a écrit le premier commentaire, et qui a mis tous les étudiants dans le même sac … corrige d’abords tes fautes qui t’enlacent jusqu’au coup et passe après à la critique … cette génération se bat et combat sous l’effet des mammouths et elle réussit des fois et d’autres elle échoue mais elle tente quand même … et elle est sur le bout du tunnel mais elle creuse sa voie … alors chuuut … au lieu de t’aligner dernière les chiens et aboyer avec eux sans savoir la raison … « génération sms » il a dit … pffff … mon oeil oui
Vous vous permettez de parler sans avoir la moindre connaissance du mobile de la grève continue et le mouvement revendicatif au sein de l’école , personne ne s’acharne sur EL Arabi , El Arabi n’est que la goutte qui à renverser le verre , il n y a pas que le conflit entre la direction et l’université , mais c’est la bureaucratie et la passivité voire l’absence de gestion de la direction qui est la cause de ce litige qui porte atteintes aux interets supremes des étudiants.
malheuresement vous ne croyez pas à l’écoute comme valeur , si c’était le cas vous n’auriez pas du venir critiquer de façon subjective et malsaine notre mouvement citoyen , légitime .
o men lakhar ga3 a lalla chorok , on s’en fout que ça soit l’Univ ou l’école , nos droits sont digérés.
La dignité de l’étudiant est intouchable , votre Arabi à vous ne respecte pas ,n’ecoute pas et maltraite ses étudiants chose qui n’est pas logique , nous sommes en 2011 a lalla ;)
votre réponse n’est pas fondé, on vous invite de venir débattre , discuter avant de se jeter . .
إنما الأمم الاخلاق ما بقية فإن هموا دهبت أخلاقهم دهبوا
الله يستر العاقبة على خير مع هده الاجيال العاقة : مهما وصلت بذاءة سلوك الاستاذ تجاه تلميذه ، فلن تصل الى نذالة هذا السلوك الصادر من يعتبرون أنفسهم « طلبة » . يقول صاحب العليك 7 : نحن في 2011 !!!!!!! متى تقادمة الاخلاق ? .
من علمك كتابة هذه السطور? إنه المعلم. المعلم، قيمة ذاتية لايجب ان تخدش أو تهان. وتزاوزات اشخص (الاستاذ) إن حدثت يمكن حلها بطرق حظارية ذكية. أما نشر غسيلكم بهذا الاسلوب فإنها تعبر علة الوعي وفساد الاصل .
الله إلقينا مع الي أحسن منا.
المقال في المستوى
اما بالنسبة للانسة منال التي تتكبر و تدعي انها من فرنسا صححي اخطاءك اولا قبل ان تتعجرفي
je suis étudiant à l’université d’oujda je trouve que la cause des zizanies sont les étudiants qui s’appellent fra9jia pendant, la période de préparations aux examens les fra9jia et les fra9jiat se donnent à coeur joies et et organisent des nuits rouges et profitent pleinement de leur temps, le jour de l’examens ils se rendent compte qu’ils n’ont rien préparé, ils ferment les portes des amphis et empêchent les autres d’y accéder. qui n’a rien ne perd rien.cette année 2013 il n’ya que la session de rattrapage »est malheur non
personnellement je suis pour l’intervention des forces de l’ordre pour éduquer ces fils et filles de putes.