Erreur monumentale du Gouvernement espagnol, celle d’avoir accueilli le terroriste Brahim Ghali sous identité algérienne
La barbouzerie de bas étage que viennent de tenter le Gouvernement socialiste espagnol et les autorités algériennes vient s’étaler en toute beauté sur les journaux et réseaux sociaux.
Le terropolisarien Brahim Ghali est bien entré en Espagne, pays où il fortement recherché pour de multiples crimes contre l’Humanité, doté d’un passeport diplomatique et d’une carte d’identité algériens sous le nom de Mohamed Benbattouch.
Les responsables et les Généraux algériens, Chengriha en tête, ont beau s’égosiller, les faits sont têtus et le fac-similé du document de voyage avec lequel l’homme le plus recherché de Castille et de Navarre, à savoir Brahim Ghali dit Mohamed Benbattouch, est bien entré en Espagne pour se faire hospitaliser suite à son cancer en phase terminale et de la COVID-19 est bien visible pour tout un chacun
Avec des décisions hasardeuses et des prises de position bâclées, l’Espagne joue avec le feu et met toute l’Europe en danger, en protégeant un criminel hostile à l’intégrité territoriale du Maroc, une question qui lui est pourtant chère lorsqu’il s’agit de son propre territoire.
Il est acquis que le Gouvernement socialiste espagnol joue avec le feu en protégeant ce sinistre individu et il lui serait de plus en plus difficile de trouver des explications pour qualifier cette ingérence volontaire et flagrante.
Raison pour laquelle, le Maroc a tout à fait raison d’exprimer son malaise à l’égard de l’Espagne qui a une responsabilité envers l’Europe, en tant que pont reliant à bien des aspects le vieux continent à l’Afrique.
L’Espagne met en danger sa propre sécurité et la crise entre Rabat et Madrid peut encore empirer en raison du manque de vision stratégique de l’Espagne sous un Gouvernement socialiste..
Le Sahara marocain est une affaire d’État pour le Maroc et c’est pour cette raison que le Maroc œuvre par tous les moyens afin de trouver une solution durable dans le plein respect du droit international et de sa souveraineté indivisible, a souligné le journaliste et écrivain paraguayen.
Nous ne pouvons que rappeler l’ampleur des succès diplomatiques engrangés par le Maroc au cours de l’année 2020 et déplorer que l’Espagne tente de mettre les bâtons dans les roues de la diplomatie marocaine qui oeuvre pour une solution définitive à un conflit artificiel qui n’a que trop durer.
Le Gouvernement socialiste espagnol, qui avance des raisons humanitaires pour justifier l’impair, est bien en connivence avec des terropolisariens hostiles aux Maroc et a initié un épisode déplorable qui sape une coopération bâtie patiemment depuis longtemps en décidant d’accueillir le dénommé Brahim Ghali, accusé de crimes abominables en Espagne.
Alors qu’il fait fi des avertissements lancés par sa propre société civile, soucieuse de la paix et du développement dans la région méditerranéenne, le Gouvernement socialiste espagnol a pris un geste qui contredit les principes de bon voisinage et de partenariat privilégié entre les deux pays.
Nous rappellerons que les autorités espagnoles et marocaines ont conclu récemment un accord concernant le retour vers leur pays des citoyens marocains qui arrivent à la nage à Sebta, le document assure que les contacts avec les autorités marocaines ont été maintenus de façon permanente.
Mais il ne faut pas oublier que bien que l’Espagne exerce sa souveraineté sur Sebta depuis 1580 et Melilla depuis 1496, en 1993, après son entrée dans l’Union Européenne, elles ont acquis le statut de territoire autonome enclavé en plein cœur du Maroc qui revendique sa souveraineté sur ces deux régions depuis 1956.
Raison pour laquelle, le statu quo depuis cinq ou six siècles ne peut durer éternellement et il est plus que temps que le jour viendra où ce dossier soit ouvert à nouveau entre les deux pays.
Farid Mnebhi.
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