Les carottes sont cuites pour Eric Laurent et Catherine Graciet !
Alors que toutes les preuves les accablent, ces deux journalistes persistent à nier l’évidence qui a conduit la maison d’édition Le Seuil à rompre, le 31 août 2015, le contrat qui le liait avec eux pour la publication de leur nouveau pamphlet contre le Roi du Maroc.
Pour rappel, ces deux journalistes, à la réputation sulfureuse, ont déjà tenté de faire chanter des Chefs d’Etat. En effet, Eric Laurent a quémandé la modique somme de 300 millions de CFA à l’ex-Président centrafricain, François Bozizé, un chiffre qui porte à croire qu’il serait amoureux du chiffre 3 suivi de plusieurs zéros ; un zéro comme il l’est d’ailleurs et même pointé. Quant à sa complice Catherine Graciet, elle a tenté la manoeuvre auprès de l’ex-Président tunisien, Ben Ali pour ne pas publier son bouquin titré « La Régente de Carthage, main basse sur la Tunisie » ; un livre pour lequel elle avait reçu une importante somme d’argent de la part d’un opposant tunisien.
A signaler que la journaleuse Catherine Graciet a déclaré, et je la cite, » avoir eu un accès de faiblesse face à deux millions d’euros » . C’est humain, non ? » , a t-elle ajouté. ; quelle très belle image du journalisme français vient-elle de livrer par cette affirmation aussi limpide que l’eau de roche ! Une véritable atteinte à la déontologie de cette profession !
Aujourd’hui, à travers leurs déclarations à la presse, il est évident que ces deux maîtres chanteurs ne savent plus quoi inventer pour se disculper et en arrivent même à s’affronter et à se contredire et ce, alors que les noms de leurs commanditaires commencent à transpirer dans la presse internationale.
Aussi, leur est-il fortement conseillé, tant qu’ils sont en liberté sous contrôle judiciaire et avant qu’ils ne soient présentés aux trois juges qui les condamnera très certainement, de se rendre dans trois restaurants : un marocain, un tunisien et un centrafricain pour y apprécier les délices de leurs plats nationaux. Un chiffre trois qu’adore Eric Laurent ! Il est servi !
Pour ce qui est de ces quelques journalistes d’une certaine presse qui parlent de complot, des pistoleros au service de parties connues pour leur hostilité envers le Maroc, qu’ils sachent que les preuves de leur culpabilité sont entre les mains des juges ; des pistoleros, sortis de leur silence, sur ordre, pour accabler l’Etat français, l’accusant d’être de connivence avec le Maroc pour que ce torchon ne soit publié ; une histoire qui ferait rire les oiseaux et chanter les abeilles.
Farid Mnebhi.
Aucun commentaire