Moments funestes
Et enfin, le feu terrible a fréquenté son recul,
Après qu’il a détruit et ruiné toutes les merveilles ;
Avec son atrocité a totalement saccagé le bon éveil,
Dans cette ferveur de terre pleine de bulles.
Les citoyens disposent d’un lourd cumul,
Accourant dans tous les sens sans réveil ;
Directions submergées par le rouge qui veille,
Sur des cadavres loin de l’action de la pendule.
Fastidieuse guerre d’une calamité imposée,
Partout dans les rues de Gaza qui reste subtile ;
Malgré tout ce rasage de rage devenu fatal.
Exténuée, la ruine déplore les débris fracassés,
Sous lesquels des vies humaines connaissent l’arrêt ;
Pour ne point avoir goûté la chance d’émerger…
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Un très beau sonnet où vous avez bien évoqué l’horreur de la guerre qui ne différencie pas entre jeunes et vieux …..