L’article 490
L’article 490 du code pénal marocain stipule : ‘’ Sont punies de l’emprisonnement d’un mois à un an, toutes personnes de sexe différent qui, n’étant pas unies par les liens du mariage, ont entre elles des relations sexuelles.’’
Voilà le fameux article que les laïcs veulent supprimer au nom des libertés individuelles, comme ils disent, au nom de la liberté sexuelle et de la prostitution comme cela se comprend. L’une des voix de la laïcité parlant du libre droit de l’homme et de la femme d’entretenir des relations intimes en privé, en dehors des liens du mariage, a déclaré qu’il tolère cette liberté à sa mère, à sa sœur, à sa fille. Ce à quoi, Monsieur Nhari, homme de religion célèbre par son franc parler, a répondu en citant un hadith du Prophète ( que le salut et la bénédiction de Dieu soient sur lui) : ‘’Trois n’entreront pas au Paradis, et Dieu ne les pardonnera pas : celui qui désobéit à ses parents, la femme qui se masculinise pour ressembler aux hommes et le dayouth’’. Ce qui a ramené la discussion sur la signification du dayouth qui n’est autre que celui dont le cœur n’éprouve aucune jalousie pour sa famille et dont il est dit : ‘’tuez celui qui n’éprouve pas de jalousie pour sa famille’’ Le laïc, défendu par l’AMDH et le syndicat des journalistes a accusé le cheikh d’avoir prononcé des propos incitant à la liquidation physique d’un journaliste qui a exprimé son point de vue sur une chaîne de télévision étrangère. Or Cheikh Nhari n’a pas exprimé son point de vue personnel mais a cité un Hadith du Prophète (SAW). Or c’est le Hadith qui est au cœur de la polémique et non la personne l’ayant cité. Donc si les choses vont comme le veulent les défenseurs de la laïcité, toute personne récitant le verset 34 , Sourate ‘’Les Fourmis’’ du Saint Coran serait accusée de faire des allusions malsaines contre le roi et par voie de conséquence punie. Voici, à peu près, la teneur du verset :’’Elle dit : Les rois, quand ils entrent dans une cité, ils y sèment la ruine et avilissent les plus fiers de ses enfants. Ainsi agissent-ils’’
Les prétendus défenseurs des libertés individuelles ne sont autres que ces dé-jeûneurs du ramadan, ( ‘’wakkaline ramdane’’ dans la langue de chez-nous) qui se réclament du MALI ( Mouvement Alternatif pour les Libertés Individuelles) et qui ont appelé à rompre le jeûne en public pendant le mois sacré. Ils ont manifesté pour la suppression de l’article 222 du Code Pénal qui dit :’’ Celui qui, notoirement connu pour son appartenance à la religion musulmane, rompt ostensiblement le jeûne dans un lieu public pendant le temps du ramadan, sans motif admis par cette religion, est puni de l’emprisonnement d’un à six mois et d’une amende de 12 à 120 dirhams[51].’’
Les prétendus défenseurs des libertés individuelles ne sont autres que ces homosexuels qui réclament le droit au mariage entre personnes de même sexe : Ceux-là ne vont sans doute pas tarder à se manifester pour réclamer la suppression de l’article 489 qui dit : ’’ Est puni de l’emprisonnement de six mois à trois ans et d’une amende de 200[187] à 1.000 dirhams, à moins que le fait ne constitue une infraction plus grave, quiconque commet un acte impudique ou contre nature avec un individu de son sexe.’’
En conclusion, les soi disant défenseurs des libertés individuelles ne sont que des débauchés et des pervers, soutenus et financés par des associations qui prétendent défendre les droits de l’homme : leur but est de propager l’obscénité, l’immoralité et la turpitude dans une société musulmane.
Le droit à l’égalité devant la loi, le droit à l’égalité en dignité et en droit, le droit de circuler librement et de choisir sa résidence à l’intérieur d’un Etat, le droit à la propriété, le droit à la liberté de pensée, le droit à la liberté d’opinion et d’expression…Voilà quelques uns des droits de l’homme pour lesquels les gens droit d’esprit peuvent militer. Mais militer pour qu’un homme offre son derrière à un autre homme n’est pas un droit de l’homme ; militer pour qu’un homme accepter que sa femme, sa mère, sa fille, sa sœur se prostituent n’est pas un droit de l’homme. L’homme qui offre son derrière à un autre est un pédé et celui qui tolère à sa femme d’aller avec d’autres hommes est un cocu. (sauf votre respect).
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Il faut donc que la société se constitue partie civile et porte plainte contre ce journaliste pour incitation à la débauche avouée.
Sont punies de l’emprisonnement d’un mois à un an, toutes personnes de sexe différent qui, n’étant pas unies par les liens du mariage, ont entre elles des relations sexuelles.