Une marche de voyous à la solde des ennemis du Maroc à Paris
Il n’en fallait pas plus pour que le peuple marocain dans son ensemble s’élève à la piteuse marche de Paris au cours de laquelle des expatriés marocains d’origine rifaine venus d’Allemagne, d’Espagne et des Pays-Bas, sans oublier ceux de France, se sont donnés rendez-vous, le 26 octobre 2017, à Place de la Bastille.
Ces soi-disant manifestants ont fait tomber leur masque au cours de cette pseudo manifestation puisque ces émeutiers, des migrants marocains, ne parlaient plus de revendications socio-économiques mais d’indépendance du Rif et se sont alliés aux terro-polisariens en piétinant et brûlant le drapeau National marocain avant de le jeter dans une benne à ordures. N’est-ce pas Fatima, l’allumeuse et danseuse de charlestone !
Cet outrage révèle, si besoin en est, que les revendications sociales qui ont été mises en avant lors de ladite manifestation ne sont qu’une première étape qui mène aux véritables visées des instigateurs de ces événements à savoir le séparatisme.
Ces sécessionnistes de la 25ème heure n’ont même pas su accorder leur violon au départ de cette marche et se sont disputés avant de se séparer, pour se scinder en deux marches distinctes. Le premier groupe était composé de 350 personnes et le deuxième, partisan de Zefzafi et compagnie, d’environ 150 personnes et il a été permis d’assister, à la place de la Bastille, à la dispute provoquée par l’intransigeance de chaque faction qui tenait à occuper les premiers rangs du cortège.
A signaler que les émeutiers rifains en ont profité pour interdire aux gens de brandir le drapeau National marocain et les obliger à porter les drapeaux fictifs d’une république fantôme. Et, pour consacrer ces visées séparatistes, plusieurs éléments terro-polisariens ont participé à la manifestation de Paris, avec à leur tête Bachir Moutik.
Le dirigeant polisarien qui marchait à la tête du cortège essayait même de coordonner avec les activistes en provenance d’Espagne pour unifier les slogans et incitait même les manifestants à brûler le drapeau marocain. Des images qui ont provoqué la colère des Marocains qui considèrent l’atteinte au drapeau National comme une offense.
D’ailleurs, le Conseil de la Communauté Marocaine à l’Etranger (CCME) a condamné, le 27 octobre 2019, les agissements de certains séparatistes qui ont brûlé le drapeau National marocain lors d’une manifestation, le 26 octobre 2019 à Paris. Cet acte « enfantin et lâche » est une « atteinte grave à l’un des symboles de la Souveraineté Nationale et à la dignité des Marocains » aussi bien dans le Royaume du Maroc qu’ailleurs, a dénoncé le Conseil dans un communiqué.
« La profanation du drapeau National est un acte criminel qui n’a aucun rapport avec la liberté d’expression », a de son côté souligné le Secrétaire Général du CCME Abdellah Boussouf, ajoutant que ce « comportement barbare nuit à des générations de Marocains et Marocaines, du Nord comme du Sud du Royaume du Maroc, qui ont consenti d’immenses sacrifices pour l’indépendance du Maroc, l’unité de ses terres ainsi que pour son progrès et développement ».
Avec ces propos du Secrétaire Général de CCME, les responsables français auront matière à bien réfléchir sur les conséquences de leurs actes passifs du 26 octobre 2019 lors de cette sordide manifestation parisienne.
Quant à la fille cadette d’Abdelkrim El Khattabi, Aïcha El Khattabi, elle s’en est prise violemment à ces voyous de la dernière heure qui ne cherchaient qu’à instrumentaliser la mémoire de son père à des fins séparatistes.
La fille du héros de la guerre du Rif contre l’Epagne et la France a même déclaré que son défunt père n’avait jamais envisagé la séparation de Rif du Maroc et a même souligné les efforts consentis par le Roi du Maroc pour répondre aux attentes socio-économiques de la population de cette région chère au Maroc.
Même les représentants du peuple marocain, toutes tendances confondues, ont entonné, le 28 octobre 2019, l’hymne nationale au sein du Parlement marocain pour exprimer leur dégoût total de ces agissements provocateurs perpétrés à Paris.
Au final, ces décérébrés de traîtres à la Nation marocaine, à la solde des ennemis du Maroc, ont tenté lamentablement de dévier des revendications purement socio-économiques à des fins de séparatisme avec l’aide des terro-polisariens, de leurs mentors algériens et de leurs soutiens français. La facture sera extrêmement salée pour ces traîtres à leur Nation !
Farid Mnebhi.
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