Chaque année au Maroc les mariages font parler les citoyens par leurs différentes façons de les fêter. Des jeunes qui se marient et qui font tout pour réussir cette cérémonie. Cependant, après une durée qui ne dépasse généralement pas l’année le couple passe à la procédure du divorce. Il arrive à prendre la décision la moins appréciée par Dieu dans un temps qui leur a permis à peine de partager un lieu commun et de s’adapter au nouveau mode de vie. Un mariage qui se base sur tous ce qui est matériel et où le couple ne s’entend plus en la présence de ce virus qui a attaqué tous les sentiments purs que contient tout cœur sain. Le lien du mariage n’a plus de valeur pour cette jeune génération qui ne connait ni la patience ni le bon sens dans sa prise de décision. Une relation sacrée et bénit par Dieu et qui donne souvent naissance à un ange, à un petit être innocent et qui voudrait à son tour découvrir le nouveau monde où il a atterrit. Un sourire qui n’a rien de matériel et qui fait entrer la joie et le bonheur dans le cœur de ses parents. Une troisième personne qui donne un nouveau sens à la vie et qui permet au couple de voir la vie avec un autre angle. Malgré cela, les besoins matériels laissent cette joie s’évaporer et donne place à la mésentente et  à l’agression verbale qui devient une nécessité presque quotidienne et qu’on ne peut s’en passer. Il ne se soucie point du bonheur de leur enfant et ne se base ni sur les principes de sagesse, ni sur les versets du coran et se référe rarement à la biographie prophétique pour régler leur problème, car souvent la source de la dispute est le manque de communication  et où l’un néglige la nécessité de partager pour l’autre. Une décision de divorce alors vient bousculer la vie des deux et implique leurs deux familles ainsi que le petit ange qui ignore son futur. Un lendemain perdu entre une vie familiale absente et un équilibre moral impossible d’atteindre.Une enfance vécue dans deux foyers et qui ne permet généralement pas à l’enfant de se concentrer sur ses études et sur son avenir personnel. Son seul souci est de retrouver un jour une stabilité familiale et de vivre dans un milieu où il pourrait être soutenu et accompagné. Ce manque est généralement la cause de la délinquance et de la déperdition scolaire qui mènent notre enfance  marocaine à un suicide à long terme et dont les résultats sont visibles partout. Le taux de violence et des agressions a augmenté et malgré les efforts fournis par la sureté nationale, on ressent le danger partout où on va.

Des dégâts irréparables et qui ne pourront diminuer que par la stabilité des familles et l’accompagnement des enfants dans leur scolarisation qui représente tout d’abord la base de tout développement. Faisons en sorte alors que ce taux de divorce diminue et ne considérons plus l’argent comme une solution à tous nos problèmes familiaux, car l’argent ne fait certainement pas le bonheur et mais y contribue seulement.