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Les aspects de changement dans notre société sont-ils vraiment réels?

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Changer représente un acte transformateur du précepte ou de conduite, dont le pressentiment de conséquence relève du domaine de la conception de l’individu ou de toute une société

Cette image sociale peut être raffinée en fonction de plusieurs éléments :

1°) le voisinage de renvoi (les cotations, l’intuition de la société, l’initiation, les souhaits…).

2°) le concept de la durée des êtres et des groupes d’appartenance en fonction de leur position dans le processus de changement (gouvernants et gouvernés).

3°) la source du changement, qui pourrait être indispensable ou exotique au groupement ou à la personne.


Le cadre de référence peut connaître des adaptations, qui sont amenées par l’attachement des Marocains au système des valeurs, en gardant le degré d’originalité, qui est patent par quelques attentions de collectivisation : à savoir la famille et l’espace de scolarisation.

Ces adaptations vont certainement agir sur la notion du perdurement chez les Marocains, ce qui va peut-être engendrer des apparences de changement.


Les apparences du changement constaté chez les Marocains sont palpables. Mais cela diffère selon les concordances et les variables accommodantes de comportement.

Toutefois, il y a des indications de changement, il suffit de voir du côté de nos agissements.

Tout changement s’accompagne, à la fois d’un sentiment d’optimisme et de pessimisme. Mais on ne peu pas nier qu’il y a vraiment changement.

Ce type de changement est donc auteur d’une mutation dans les habitudes relationnelles entre gouvernants et gouvernés.

Il faudrait admettre, certes, qu’on n’est pas au stand escompté parce que certaines relations qu’on a pu tisser, au fil des dernières années, ne sont pas très affinées, mais, en revanche, on pourrait gagner d’autres bienfaits de qualité. Mais, nonobstant ça, on peut remarquer que la masse des Marocains conservent toujours ce chatouillement chaleureux et donc humain avec l’un et l’autre.

Ce qui nous renvoi à parachever, que ce n’est pas un engouement d’une cohabitation parfaite, mais c’est une logique de situation, purement marocaine, qui permet un système de régulation et d’équilibre.

Donc, on ne peut comprendre ce comportement qu’en adoptant une approche globale, qui prend certainement en considération les mutations que connaît le Maroc ces derniers temps.

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