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Le futur s’impose numérique

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Ramdane  Mesbah  Idrissi

Dans quelle Maroc nous vivons  aujourd’hui ?
Est ce dans  un seul Maroc d’égalité, ou dans deux
Maroc injustes ?
Nous somme attirés ver  Qu’elle échelle de valeurs ?
Echelle Archaïque ? Ou mondialisés ?

La naissance d’un nouveau dualisme :
Exemple personnel :
En 1996 j’ai décidé de combattre mon ignorance  en informatique, après tant  de Paine   est d’hésitation.
Hélas , après toute  ces  dizaines d’années ,  passées en labeur intellectuelle ;je me suis trouvé, est  a l’aube  de ma vieillesse ,grand ignorant   en informatique ; clef majeur  de la modernisation qui envahie tous les secteurs ;et du futur qui s’impose numérique .
J’ai déterré ma hache, comme un vieux indien provoqué, est j’ai pris pare avec acharnement –aux milieux des jeunes informaticiens -a une guère sainte  contre mon analphabétisme.
Quant   j’ai vécu cette nouvelle  naissance, mon âge atteignait  la cinquantaine d’années.
Aujourd’hui, quant  je regarde autour de moi ; pour constater l’état de la formation, en matière d’informatique, au niveau de ma génération : soixante ans et plus ; je me sens presque seul, beaucoup en avance.
A l’exception D’une dizaine de mes connaissances, le reste- presque 90 %- se  voient  toujours non concernés par cette révolution.
Combien de ces gents vont finir leur jours  sans se  soucier de leur ignorance nouvelle ?
Combien d’eux sont très conscients de leur handicap, mais ne peuvent Pa apprendre ?
En contrepartie de cette génération, j’ai visité les pages des sites sociaux de plusieurs de leur petits enfants ; et j’étais vraiment  abasourdi   devant la quantité d’amis- de nationalités divers- qu’ils ont ; et de leur  facilité d’établir  des dialogues entre eux .certes le sens de l’amitié a changer avec le numérique.
Je  peu dire qu’environ de 40% des petits enfants de mes connaissances, citées, ont  une certaine formation en informatique. Pour le reste (60%)c’est les niveaux intellectuels ou matériels de la famille qui explique leur privation.
Pour les jeunes c’est le contraire des vieux, cités : presque 90% ont axé a l’informatique, et internet bien sur .allant de l’ingénieur spécialisé au  simple internaute.
Vu cette exemple, même  limité, mais significatif  en se qui concerne la nation entière, combien de temps, de programmes  de formations, et de matérielles faut il pour  changer cette carte  presque divisé en deux ?
D’une part  un Maroc qui émerge   ver la modernisation ; en investissant dans le savoir ; et d’une part ce Maroc  cloué a l’analphabétisme numérique, figé par cette handicape    , qui barre la route a tout efforts de développement.
Même si la génération des vieux peu toujours  contribué a ces efforts ;et même – d’une obligation  islamique  -ce voie obligé de ne Pa interrompre  son apprentissage ,jusqu’a la mort ;il faut se focaliser  sur les enfants et les jeunes ; en les incitant  a métriser tous les formations ,et les savoirs  susceptibles de faciliter leurs intégration  a un monde numérique  mondialisé .
Monde rural : du berceau de la résistance à une  pépinière de pauvreté.
Dans une communauté rurale de 4000 habitants (commune mestferki/province d’Oujda) on ne peut constater  que la présence de quatre ou cinq ordinateurs en  possession de l’administration et des particuliers.
Dans ce qua il ni y’ a aucune raison de parler d’une activité numérique ; surtouts  que le pourcentage des analphabètes dépasse, largement, le national
Mais il faut souligner,  comme même,  le changement dans les mentalités, et les comportements ; du a l’arrivé, enfin, de l’électricité ; donc  des chaines de télévision.
En 1916 l’armé française a envahi la tribu des ouled sidi , zekri(zekara) ;condamna  le caïd Belaid a une peine de six ans  avec exil a vie ;pour cause d’atteinte a la sécurité de la France  .
Hélas, L’électricité na éclairer cette compagne qu’en 1998.
Cet exemple nous donne une idée du grand retard qu’a subi le développement du monde rural.
Depuis  l’indépendance les gouvernements on opter, a priori, pour  le monde urbain. Ne sachant Pa que la résolution des problèmes des villes se passe à la compagne.
Revenant  maintenant a notre carte pour s’interroger sur les possibilités  de communication  constructif, entre ces groupes sociaux ; a travers une fausse numérique qui s’élargie toujours.
Comment ces tranches – culturellement  séparé-peuvent elles participer convenablement, et en cohérence, au développement, imposé par notre ère ?
Comment rendre possible, pour tous marocain, ou qu’il soi, l’accès au multimédia ;a l’économie du savoir ;balises   du futur ?
L’extrême  pauvreté :
Vu ces années de crise économique mondial, de sécheresse, structurelle qu’elle soit, on peu comprendre que l’état  peu être mener, provisoirement, a réduire  les dépenses publiques, qui aurons effets sur le niveau de vie des citoyens.
Le grand risque n’est Pa la ;mais a partir de l’atteinte a l’enseignement, et a la formation  on entre dans une période   de pauvreté extrême et irréversible.
La pauvreté  des familles fait obstacle à la formation des enfants pour le futur ; et une génération privé de formation, ou formé au hasard, n’engendre que pauvreté. Cercle infernal qui étrangle  nos espérances  à un avenir plus avancé.
Dans un monde mondialisé, qui possède la montre  et le temps, il ne nous appartient que de regarder en avant ; sans beaucoup de remord pour nombre de nos valeurs déchues.
Pour  ne Pa rester cloué a une chaise électrique, meurtrière,  il faut s’investir dans l’avenir, ou rien ne rime que l’économie du savoir.
Ramdane3@gmail.com

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