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Oujda continue de bouger au rythme de RAI

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Inscrire le festival international du RAI d’Oujda- FIRO- dans la durée et le
hisser au diapason mondial est une volonté  que manifestent farouchement le
président Mohammed Mrabet, président de l’association Oujda Arts et ses
collaborateurs, n’en déplaise aux opposants et détracteurs de ce rendez-vous
artistique annuel.
Fort convaincue que cet événement culturel de dimension mondiale, adossée sur le

RAI, musique du monde, l’association Oujda Arts croit, dur comme fer, que le
F.I.R.O est un vecteur de marketing sûr qui contribue à construire la notoriété
de la région de l’oriental et son chef lieu Oujda  et à renforcer les
attributions et les atours pour donner plus d’attractivité et de captivité à
cette région qui connaît une dynamique économique sans précédent et se
positionne en

véritable pôle économique comme en témoignent les nombreux projets structurants.
Et pour hisser ce festival au rang qui lui sied, cette 5 ième édition a été
lancée, déclare le président, sous le signe du renouveau, un renouveau
concernant les ressources humaines, la gouvernance, l’ouverture sur divers
styles de musique à fusionner et le plateau artistique. Outre l’engagement d’un
nouveau directeur artistique qui n’est que le célèbre CHICO alias Jahloul
Bouchkhi, enfant prodige de la région, qui relaie Mbarek Moumen, l’un des
fondateurs et serveur du festival qui, d’après Mohammed Mrabe suit d’un œil
attentif cette manifestation, de grosses pointures de la chanson  qui ont « fait
malheur » sur des centaines de scènes, sont attendues à Oujda.  Samir

Said et le revenant chab Mami se produiront ensemble en même temps que des
artistes locaux et nationaux.  Les gespsies, Ghiwane, Latino Groover etc…Les
jeunes ne sont pas exclus du reste. Ils auront l’occasion de côtoyer les grands
chanteurs
A mille de cette thèse, certaines personnes s’opposent au festival, comme
partout dans le monde. On estime l’organisation de ce festival une dilapidation
de ressources matérielles dont aurait mieux à faire du fait qu’il, argue-ton, il
n’y a aucun retour sur l’investissement. On reproche aussi à l événement de
constituer un terrain propice à diverses formes de déviations : drogue, alcool,
vol et viol

D’autres opposants remettent en cause le gestion du festival et demandent une
révision de toutes les modalités organisationnelles.
Que les idées divergent, ou s’opposent est tout à fait ordinaire et même positif
mais que la controverse ne verse pas en polémique.et se fasse dans le respect
mutuel
Mohammed Zerhoudi

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