Parler de la drogue n’est pas nouveau, c’est un sujet pour lequel pas mal de personnes et de gouvernements ont gaspillé beaucoup de temps et d’argent pour en définir les causes et les remèdes. Des jeunes voient leur capacité en train de se dissiper derrières des plaisirs qui ne durent que pour le court terme, et pour lesquels beaucoup de pays perdent des capacités dont ils peuvent profiter pleinement. C’est après une liberté abstraite, y échappant tout sens de responsabilité, que les jeunes courent, et usent de leurs capacités, de leur audace et leur curiosité pour consommer certaines drogues, afin d’arriver à une dépendance, sans remède, et sans médicament. Une euphorie immédiate, une puissance intellectuelle, et physique, une indifférence à la fatigue, pendant une ou deux heures, va bientôt retomber pour faire face à un état anxieux voire dépressif, poussant le drogué à vivre dans l’humiliation, et la marginalisation, qui peuvent le pousser à commettre toute sorte de crimes ou de délinquance, pour se procurer l’argent nécessaire à l’achat de la drogue. Pas de mesures normatives suffisantes pour lutter contre ce danger, mais c’est une consommation qui augmente de plus en plus, contribuant à la hausse des charges étatiques destinées à corriger les erreurs des consommateurs de cette arme destructive.