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Le soi-disant chef polisarien serait sur la ligne de départ pour le trou immonde

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Il est de plus en plus probable qu’un remue-ménage semble être en cours pour remplacer le terroriste et violeur invétéré Brahim Ghali à la tête de l’organisation terropolisarienne.

Le sieur Brahim Ghali serait devenu indésirable parmi ses matons algériens de la Direction Générale des Services Intérieurs (DGSI) dirigée par le Général Abdelghani Rachdi, en raison des nombreuses casseroles qu’il traîne, qui auraient jeté leur dévolu sur Abdellah Lahbib Bilal, un Rguibat algérien de Tindouf.

Les raisons de la mise au placard du terropolisarien Brahim Ghali sont que, pour le régime algérien, ce tristement célèbre criminel est un garnement fini, ne disposant d’aucune base dans les camps des séquestrés sahraouis marocains de Tindouf, surtout après s’être mis à dos les inconditionnels des services algériens suite à une situation explosive régnant dans les camps des embastillés sahraouis marocains de Tindouf.

De plus, Brahim Ghali est impliqué depuis plusieurs années dans des affaires de corruption, de mœurs pour viols et agressions sexuelles, notamment en Espagne, de détournement de l’aide humanitaire internationale. Cette aide humanitaire, théoriquement destinée aux sahraouis dans les camps de Tindouf, est taxée par des responsables algériens, dont des officiers de la sécurité militaire, qui en tirent des bénéfices matériels conséquents.

Il est également l’instigateur de l’enrôlement des enfants soldats dans sa milice du polisario. Ces enfants innocents sont issus de familles vivant dans des situations précaires et des conditions d’esclavage.

Mais surtout, les services de renseignement algériens cherchent à se débarrasser de lui à cause de la collusion du polisario devenue trop flagrante avec les groupes terroristes, en particulier l’Etat Islamique au Grand Sahara (EIGS), les trafiquants d’armes au Sahel et le cartel des narcotrafiquants d’Amérique du Sud.

L’image de Brahim Ghali s’est encore détériorée par ses mensonges répétées sur sa gestion de la pandémie de la COVID-19 dans les camps de Tindouf, sur le territoire algérien ; véritables prisons à ciel ouvert où sont séquestrés des milliers de sahraouis marocains, ces camps sont devenus des mouroirs que des populations désespérées cherchent à fuir à tout prix.

C’est pourquoi, la DGSI algérienne aurait misé sur un notable attitré des Rguibats algériens du Sud algérien en la personne de Abdallah Lahbib Bilal pour prendre la tête de l’organisation terropolisarienne.

D’ailleurs, Abdallah Lahbib Bilal devrait rentrer en Algérie ces prochains jours après avoir été successivement hospitalisé en Espagne et en France, d’où il vient d’être rappelé d’urgence.

Quoi de plus normal qu’Abdellah Lahbib Bilal, un algérien natif de Tindouf, ville où il a grandi, devienne la marionnette attitrée de la DGSI algérienne, sachant que la grande majorité des mercenaires à la solde du régime algérien sont des Rguibats algériens.

On peut donc affirmer que le polisario n’est rien d’autre qu’une affaire algéro-algérienne et la fin imminente de la pièce théâtrale ourdie et concoctée par le régime despote algérien, installé grassement au Palais de la Mouradia à Alger, dont le rêve utopique de créer une république croupion pour mettre a genou le Maroc est tombée à l’eau.

Même leur volonté de changer le chef du polisario afin de redorer leurs blasons et, en même temps rafraîchir l’image ternie du mouvement séparatiste, les services de renseignement militaires algériens pourront difficilement leurrer l’opinion locale et internationale.

L’Algérie, en pleine banqueroute, est en totale déroute, toute comme son armée de polichinelle qui n’a jamais été engagéedans un combat réel ou dans une force multinationale en raison de son manque totale d’expérience et d’organisation. D’ailleurs, son armement, dont elle se vante être en possession, est utilisé uniquement par des mercenaires payés grassement, ce qui informe sur la valeur réellement nulle du soldat algérien et de son commandement.

Farid Mnebhi.

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