Les rêveries malsaines des responsables algériens, de leurs porte-voix puants et de leurs pantins polisariens
Plus de 1.200 Marocains auraient, selon la presse algérienne toujours ordres, quitté la ville de Dakhla, en raison de la propagation du coronavirus, rapportent le 26 mars 2020 plusieurs sources médiatiques algériennes.
Selon les délires des aboyeurs algériens, Al Moudjahid et l’APS en tête, pas moins de 28 autocars auraient été envoyés par les autorités marocaines à Dakhla, Chef lieu de la Province Oued Ed Dahab, afin de procéder à l’évacuation de près de 1200 ressortissants marocains travaillant dans cette région marocaine afin de retourner dans leurs villes natales. Du jamais vu, alors que le Maroc a décrété un confinement dans le cadre du plan d’urgence sanitaire et que ces provinces sahariennes marocaines ne sont, à la date du 01 avril 2020, point touchées par le COVID-19 !
Pour conforter leurs assertions mensongères, ces aboyeurs algériens ont eu l’outrecuidance de poster sur les réseaux sociaux de fausses photos afin de susciter des commentaires favorables à la thèse des autorités algériennes, connues mondialement pour son soutien au terropolisariens.
Bon, mais que voulez-vous, le confinement suite au Coronavirus (COVID-19) a rendu totalement dingue les responsables algériens et leurs affidés polisariens au point qu’ils en sont à publier des fake news pour prouver leur existence. Il est plus que certain que le confinement donne des visions à ces affabulateurs endimanchés !
Rassurez vous, les Provinces sahariennes marocaines vont très bien et ce, sur tous les plans, sanitaire, économique, social et sécuritaire. N’en déplaise à ces responsables algériens et à leurs caquets que sont l’APS et Al Moudjahid. Ils ont meilleurs temps de s’occuper de ce qui se passe chez eux avec le COVID-19 et ce, alors que le mois de Ramadan approche à grand pas et qu’ils n’ont pas de quoi ravitailler leur peuple en ce mois Sacré et encore moins de quoi meubler leur confinement ; cafés, restaurants fermés et sorties nocturnes et prières à la Mosquée interdites. Dure, dure est la vie pour le peuple algérien en ces temps de disette et de mise en quarantaine !
Autre véritable crime perpétré par les cabots du polisario, celui de la mise à profit de la pandémie mondiale pour se sucrer sur les prix des produits de base entraînant une flambée de prix qui a touché tous les produits de première nécessité, dont certains sont censés être gratuits car provenant des aides humanitaires internationales, telle la baguette de pain. Même les prix du carburant, et contrairement à la tendance mondiale à la baisse, ont connu une hausse sans précédent dans les stations service des camps de Lahmada et de Rabouni.
Or tout un chacun sait que toutes ces stations disséminées dans ces camps appartiennent aux dirigeants du polisario, rémunérés par les autorités algériennes, entre autres primes, par une livraison mensuelle gratuite de 300 tonnes de carburant.
Ce carburant, s’il n’est pas écoulé sur place, va le plus souvent alimenter un trafic florissant avec les commerçants des villes du Nord de la Mauritanie, ou avec les factions armées du Nord du Mali, auxquelles sont également vendues les aides alimentaires internationales qui étaient gratuitement destinées aux réfugiés sahraouis marocains séquestrés dans les camps de la mort de Tindouf dans le Sud algérien.
Aussi, même assorti d’un couvre-feu nocturne et du renforcement de la présence militaire autour des camps des embastillés sahraouis marocains de Tindouf, le nouveau confinement instauré, le 22 mars 2020, à la faveur de la pandémie du COVID-19 aurait été indolore s’il n’avait pas été accompagné d’une flambée de prix qui a touché quasiment tous les produits de première nécessité. Un crime humanitaire à huis clos est en en cours d’exécution par les responsables algériens et leurs pantins algériens. Quelle honte !
Pour ce qui est des cadors du polisario, ils logent tous à Tindouf dans des villas cossues mises gracieusement à leur disposition par le régime algérien, abandonnant les séquestrés sahraouis marocains à leur triste sort.
Farid Mnebhi.
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