Les traîtres à la nation
En la mort de Mohammed Abdelaziz, le leader du Front Polisario et soi disant président de ladite République Sahraouie etc, etc…, est mort un traître à la nation et avec lui le rêve des familles sahraouies dont il a été l’un des artisans de leur incarcération dans les camps de la honte. Et il n’est pas le seul à mourir si bas comme meurent si bas tous les traîtres de cette espèce. Avant lui est mort celui qui lui a laissé le malheur de ces familles, dans des circonstances similaires et peu naturelles, El Ouali Mustafa , un autre traître qui a été à l’origine du malheur de milliers de familles marocaines d’origine sahraouie qu’il a forcées, lui et ses acolytes, à le suivre, dans les camps de la misère qui se trouvent à Tindouf, en terre actuellement d’Algérie. Il les a déportés en des hordes d’enfants, de femmes et de vieillards après qu’il leur a fait miroiter un avenir radieux dont le reflet de la richesse, de la prospérité, de l’aisance et de la convoitise ont attisé chez eux une faim insatiable, pour les conduire vers une destination finale, vers les camps de séquestration où ils sont toujours, affamés, assoiffés, vils, abjects, vivant de l’aide humanitaire que leur allouent les instances internationales. Ils ont quitté la terre de leurs ancêtres que le colonialisme espagnol a spoliés dans un moment de faiblesse ou de distraction pour aller demander l’asile à celui qui a fait d’eux des êtres génétiquement modifiés après qu’ils les a envoyés s’endoctriner à Cuba au temps de Castro premier et en Lybie, au temps de Kadhafi. Et depuis 1975 à nos jours, ils sont toujours cantonnés dans des camps de réfugiés eux à qui on avait fait croire que la révolution aurait bien vite raison du Maroc que la conjugaison de la guérilla du Polisario, de l’alliance de l’Algérie, de la Lybie et de Cuba déstabiliserait et conduirait à la ruine et à l’abdication. Tous ses pays se sont effondrés, un à un, comme des châteaux de cartes, et le Maroc est toujours debout, grand, fier et noble.
A ces traître, qui ont pris les armes aux côtés de l’ennemi, contre leurs concitoyens, leurs familles et leurs frères restés au pays viennent s’ajouter d’autres traîtres, ceux que la chaîne française France 3 a montrés dans un documentaire intitulé ‘’Roi du Maroc, le règne secret’’. Ce qui caractérise cette dernière catégorie de traîtres, c’est qu’ils parlent un français avec la fluidité des journalistes qui ont réalisé le documentaire, sans l’accent du bled. Ils sont donc, eux aussi, des êtres génétiquement modifiés. Ils sont présentés, eux aussi, comme des exilés aux Etats Unis, en France ou en Espagne comme le Polisario dans les camps de Tindouf où ils sont séquestrés. Et c’est à partir de ces pays qu’ils mènent leur sale besogne de collaborateurs et de traîtres pour nuire à l’image de leur pays qu’ils ont renié en servant les intérêts des pays étrangers à la solde desquels ils sont. Le documentaire en question, réalisé par des journalistes français, est une vile et lâche entreprise visant à réhabiliter la mémoire de ces deux journalistes français, Eric Laurent et Catherine Graciet , arrêtés la main dans la poche et mis en examen pour avoir tenté de faire chanter le roi Mohammed VI. Qui ne se souvient pas de cette affaire où ces deux lascars avaient exigé une forte somme au roi pour la non publication d’un livre hostile à la monarchie ? Ces soi disant Marocains dont le documentaire s’est servi pour dénigrer le pays et son roi ne sont que des marionnettes au service d’un agenda qui vise à nuire à l’image notre patrie.
Le Polisario et les comparses montrés sur la chaîne française France 3 ont choisi l’exil d’eux-mêmes. Les premiers sont allés demander refuge chez le voisin avec qui ils ont déclaré la guerre à leur pays, les seconds, quant à eux, ont répondu à l’appel du colon auquel ils sont restés attachés par les liens de la servilité.
Si jamais il arrive malheur à notre pays et à ses symboles, comme celui dont ont été frappés ceux du printemps arabe, que Dieu l’en préserve et nous avec, ce sont ceux-là qui, les premiers, ouvriront les portes à l’ennemi. Et ce seront eux qui lui serviront d’éclaireurs, d’interprètes, d’indicateurs.
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